Médias libres, indépendants, alternatifs… Le mensuel « L’Âge de faire » a réalisé une carte de la « presse pas pareille », lancée par le journal « Le Ravi », basé à Marseille, pour définir des journaux non inféodés aux pouvoirs politiques et économiques.
Présentation de la carte par son éditeur :
Médias libres, indépendants, alternatifs… Pas facile de s’y retrouver ! Pour cette carte, nous avons adopté l’expression « presse pas pareille » lancée par le journal Le Ravi, basé à Marseille, pour définir des journaux non inféodés aux pouvoirs politiques et économiques. Parce qu’il fallait bien choisir, nous avons sélectionné les médias répondant grosso modo aux critères suivants :
ils produisent essentiellement du contenu écrit, sur papier ou en ligne.
ils n’appartiennent à aucun groupe industriel, financier, ni à aucun mouvement politique, syndical ou religieux.
ils sont détenus par leurs salarié·es, leurs lecteurs et/ou une association.
professionnels ou bénévoles, ils mènent une véritable démarche d’information, sans se cantonner à l’expression d’opinions.
ils sont favorables à une société plus juste et solidaire, sans exclure aucune catégorie de personnes.
la publicité n’occupe pas plus de 10 % de leurs pages.
Hello!
Ce magnifique rappel par Catherine de Mononoké et du Dieu Cerf sur le fil de Fédo (politiquement athée..libre expression) vient à point nommé en articulation avec ma question matinale : comment trouver en nous le point d'équilibre, le point de tranquillité, l'oeil du cyclone qui prit de plein fouet notre vie et nous amène sur ce forum?
Les forces de l'invisible tracent en nous des chemins que notre libre-arbitre décidera de suivre ou non. Le conseil est une prise de pouvoir sur autrui, certes, mais restent possibles la solidarité, le partage, la guidance.
Il est dit, en référence à Freud, du rêve qu'il déplace, condense et diffracte. Entre sommeil et veille, à l'éveil, notre psyché exprime le mieux son restitué des songes de la nuit. Proche de l'état d'hypnose, ce moment d'éveil ouvre un espace où "entre veille et sommeil, des choses peuvent se réorganiser", comme disent les hypnothérapeutes.
Le mien fut simple : le chemin shamanique que je commence à discerner depuis mon séjour au festival est-il le bon, est-il suffisamment solide, la personne avec qui je souhaite lier est-elle la bonne?
Dans notre bain culturel, trouver un bon analyste n'est pas si facile, même quand on sait s'y prendre. Alors, dans un mode de traditions ancestrales, comment chercher guidance adaptée ? Personnellement, j'ai toujours opté pour le ressenti.
C'est en écoutant le ressenti qu'un fil peut se dégager de la pelote. Ce questionnement peut tout à fait s'étayer d'une interrogation du songe, du rêve ou de la pensée dite "flottante".
Le fil de reliance à l'invisible s'exprime par ses propres canaux avec ses propres pancartes, comme une carte de presse libre d'intox quand on prend soin d'une écoute dépolluée de nous-mêmes. En ce sens, la psychanalyse est bien outil préparatoire d'une ouverture des portes qui ne sont pas des portes!!!!(reférence : le Samadhi, personne ne peut franchir une porte qui n'est pas une porte, alors, soyez personne.) L'écoute shamanique de la Nature, bain des cultures ancestrales, confirme la pensée quantique dans l'hyper complexité de l'invisible.
L'endeuillé(e) qui a perdu la tête par la douleur ressentie ne cherche autre chose qu'une nouvelle forme de pensée de reliance, comme l'oeil du cyclone au centre de cette spirale de destruction qu'il génère, son propre point de tranquillité.
Citation Catherine :
A ces mots, le Shishi-gami relève la tête et se régénère presque instantanément. La volonté d'un seul homme a pu préserver un temps l'équilibre. Au deuxième coup de feu, Le Shishi-gami perd sa tête... mais ne meurt pas. Ce qui se passe alors, c'est que l'équilibre entre la vie et la mort est rompu.
Bizs-itaos.
Pascal.