Auteur Sujet: Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !  (Lu 959958 fois)

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2700 le: 29 septembre 2018 à 21:51:37 »

"... Il avait oublié de s'aimer et d'accepter de la vie ce qu'il ne pouvait pas changer."

"...Accepter ce qui est et que chacun suive sa route ..."
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
- Qui pourrait me dire maintenant ce que je dois dire, écrire, croire, penser ou faire ? Personne ! je suis LIBRE !

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2701 le: 29 septembre 2018 à 22:56:34 »
Notre route est tellement chaotique...
Ton message reste plein d’espoir malgré la tristesse qui se dégage ...
Je viens me reposer dans ton petit monastère en regardant les étoiles et en pensant à mon frère du ciel. Je suis silencieuse, un peu sauvage, ravagée par l’absence et meurtrie par les «  plus jamais »
Je suis  encore incapable  d’apprécier les bons moments, ils ont tous un arrière goût amer. Alors je me contente de travailler comme une automate.  Ma devise:  métro- boulot - dodo ...  dormir pour oublier ....
Merci pour tes partages!
J’ai allumé une bougie, peut être apercevras-tu sa lueur  au fond  de ton petit monastère ....
claraben

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2702 le: 29 septembre 2018 à 23:23:43 »
Ce soir, sur les allées fleuries et parfumées de Mon Petit Monastère, j'ai aperçu deux magnifiques Princesses...
une
Princesse de son Amour pour son Frère...
et l'autre
Princesse de son Amour pour son Amoureux...

Des larmes... deux bougies... des sourires... des mots-arc-en ciel... ceux que j'aime !

Je vous embrasse... Claraben... Mircea

Papa de Raphaël.

« Modifié: 30 septembre 2018 à 00:18:08 par Federico »
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
- Qui pourrait me dire maintenant ce que je dois dire, écrire, croire, penser ou faire ? Personne ! je suis LIBRE !

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2703 le: 30 septembre 2018 à 01:33:38 »
Raphaël, mon Fils, mon Chéri, mon Amour

J'attends avec impatience le moment où enfin plus apaisé et serein je pourrai regarder la nuit la lune et les étoiles dans Mon Petit Monastère...
Là, je me cache... comme les oiseaux se cachent pour mourir !
Effervescente souffrance qui déborde à la moindre secousse émotionnelle...
J'attends, j'attends...
Je prends soin de moi, je me protège !
Je veux vivre pour te déclarer mon Amour !
Je veux courir à travers la plaine et traverser des prairies où l'herbe est plus verte ...
Je veux crier, hurler ... jusqu'à me casser la voix ... JE T'AIME ....

Moi, je ne vais pas t'oublier, Non ! Jamais ! ......... et si les autres m'oublient un jour... je n'en ai rien à foutre !

Je t'embrasse.

Papa
« Modifié: 30 septembre 2018 à 01:55:55 par Federico »
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2704 le: 30 septembre 2018 à 01:57:55 »

https://www.youtube.com/watch?v=lWLYR8W0gaA..... Ben Mazué & Pomme..... J'attends

Douce nuit.
Federico
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2705 le: 30 septembre 2018 à 18:57:28 »

APRÈS LE SUICIDE D'UN PROCHE

(d'après le livre de Christophe FAURE "Vivre le deuil et se reconstruire")

... Depuis c'est le chaos.
Que dire ? Comment nommer l'indicible ?
Aucun mot ne semble assez fort pour décrire le vide, la détresse, l'impuissance ...

Et comment trouver, jour après jour, ne serait-ce que la force de se lever et de vaquer aux activités dérisoires du quotidien ?
Quelles raisons se donner pour continuer à avancer, alors que soudain tout devient absurde ?
Est-il même possible d'imaginer reconstruire un semblant d'existence, quand ses fondements s'effondrent aussi radicalement ?

Vous le savez : rien ne sera plus jamais comme avant. Même si tout en vous s'y refuse, vous savez bien qu'il vous faut désormais vivre avec "ça" : ce poids intérieur que rien n'allège, cette souffrance lancinante qui croît sans cesse au fil du temps et qui se distille insidieusement dans chaque repli de votre cœur et de votre âme ...

Oui, peut être qu'un jour vous arriverez à aller au-delà de ce cauchemar (c'est du moins ce que les gens ne cessent de vous dire), mais la tâche semble aujourd'hui tellement difficile que vous ne pouvez que douter qu'une telle issue soit possible.

Au plus profond de votre être, vous vous interrogez : comment puis-je vivre ... comment puis-je survivre au suicide de mon compagnon, de mon parent, de mon enfant ?

... Tant de souffrances qui se vivent en silence.
Tant de questions qui restent enfouies à l'intérieur de soi, sous le poids de la culpabilité, de la colère ou du désespoir.
Tant d'impuissance aussi de la part de ceux qui tentent de les aider, car ils ne peuvent pas vraiment comprendre ce qui se passe pour eux.

... Quand on vit un tel drame, on a besoin de recevoir de l'aide de personnes qui sont passées par là : elles "savent" ; elles comprennent ...

C'est peut être par ce que vous aurez lu, écouté, travaillé sur votre propre souffrance que vous serez en mesure d'apporter une aide authentique à autrui. Ce sera une façon d'honorer, dans le secret de votre cœur, la mémoire de la personne que vous avez perdue.

Ce que vous éprouvez actuellement n'a rien d'anormal ; il y a une logique, et même une certaine cohérence, dans ce qui vous semble aujourd'hui n'être qu'un flot désordonné de souffrance.
Soyez rassuré sur le fait que vous n'êtes pas en train de perdre la tête, même si ce que vous ressentez aujourd'hui ne ressemble à rien de ce que vous avez connu auparavant et que votre entourage ne sait pas comment s'y prendre avec vous.
D'autres gens, totalement sains de corps et d'esprit, ressentent, en ce moment même les mêmes choses que vous. Ils nomment leur souffrance avec les mêmes mots que vous.
Tout comme vous, ils sont persuadés qu'ils sont en train de devenir fous et que personne - vraiment personne - ne pourra jamais les comprendre. Sachez-le : vous n'êtes pas seul ...

Enfin, pour ceux qui penseraient au suicide pour eux-mêmes et qui s'interrogeraient sur le devenir de leurs proches, après leur acte.

Sachez que votre suicide potentiel restera toujours - et à tout jamais - une tragédie pour vos proches. Ils resteront blessés par votre geste. Si vous songez à mettre un terme à votre vie, ne restez pas sans aide, même si vous êtes persuadé que plus rien ne peut vous aider.

Comme l'a dit une mère après le suicide de son fils :

"ça a peut être été un soulagement pour lui, mais pour nous,
ça été le début de l'enfer ! "
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2706 le: 30 septembre 2018 à 19:52:27 »
Kiné

 :-* :-* :-*

Merci, je suis très ému par l'authenticité de certains extraits qui me définissent totalement...

Federico

PS : Comprenne qui pourra... comprenne qui voudra...
« Modifié: 30 septembre 2018 à 20:07:15 par Federico »
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Hors ligne Catherine Th

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Re : Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2707 le: 01 octobre 2018 à 01:38:07 »
Quand on vit un tel drame, on a besoin de recevoir de l'aide de personnes qui sont passées par là : elles "savent" ; elles comprennent ...
pas du tout sûre que ma "vision", mes sentiments profonds etc ... par rapport au suicide de Mircea soient compréhensibles ....

Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2708 le: 01 octobre 2018 à 07:53:47 »

Catherine ... tu seras toujours écoutée avec douceur et attention !

Ta "vision" ainsi que tes "sentiments profonds" ne peuvent qu'enrichir et embellir la palette arc-en-ciel des belles émotions humaines...
Tes mots tendres sont choisis, délicats et ô combien respectés...

OSE... cela fait un bien fou de se libérer soi-même ...

Tu "sais", tu "comprends"... tu sauras nous parler du suicide et de ton Amour pour Mircea... je suis sûr !
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2709 le: 01 octobre 2018 à 08:26:27 »
Quelques extraits choisis du livre « Le lambeau », de Philippe Lançon

« Je suis toujours agacé par les écrivains qui disent écrire chaque phrase comme si c’était la dernière de leur vie. C’est accorder trop d’importance à l’œuvre, ou trop peu à la vie. Il faudrait noter les plus petits détails de ce qu’on vit, la moindre des choses moindres, comme si on allait mourir dans la minute qui suit ou changer de planète...  »

« Non, il ne s’agirait pas de noter les choses essentielles, les grandes étapes, cela est une perspective d’homme vivant et bien portant. Il n’y aurait d’abord que les toutes petites choses, celles des dernières minutes... »

« ... et j’ai senti, là, par-dessus lui, la solitude d’être vivant. C’était la tristesse d’aller vers n’importe quoi, n’importe où, en sachant que lui ne pourrait plus me suivre. »

« Je l’ai écrite pour me soulager du chagrin que je pressentais : écrire, c’était protester, mais c’était aussi, déjà, accepter. La première phrase a donc eu cette vertu immédiate : de faire comprendre à quel point ma vie allait changer, et qu’il fallait sans hésitation admettre tout ce que le changement imposerait...

« Mais continuer n’est pas le mot qui convient. Je ne le sais pas encore : c’est d’une suite folle de naissances qu’il s'agit... »

« Récente et préhistorique : cette contradiction, il faudra t’y faire car "depuis" il est exceptionnel qu’en éprouvant ou en pensant une chose je n’éprouve ou ne pense pas aussitôt la chose contraire. »

« Sur le moment, je n’ai pas compris pourquoi tu m’interdisais de venir te voir, de t’aider. Pourquoi tu me mettais en dehors du cercle de tes amis. Si c’était comme ça, quel sens avait notre amitié ? –L’amitié n’était pas en question, ai-je dit. Mais je n’étais pas en état de supporter ta présence et ton émotion. J’avais l’impression que tu allais tout théâtraliser, et cela, je ne le voulais pas. Je devais faire un tri et ce tri n’avait rien à voir, ou pas seulement, avec la proximité. Je m’aperçois que j’ai choisi, à ce moment-là, ceux dont je sentais qu’il me rendaient plus fort. Tu n’en faisais pas partie. –Mais peux-tu comprendre ce que j’ai ressenti ? –Je peux et sans doute je pouvais. Mais, à ce moment-là, tenir compte de ce que tu pouvais ressentir était pour moi un luxe que je ne pouvais pas me payer. »

« ... comme aurait dit Corneille, chaque homme est dans sa nuit. »

« J’écris pour me souvenir de cela aussi, de tout ce que j’ai failli oublier, de tout ce que j’ai perdu, en sachant que je l’ai tout de même oublié ou perdu. »

« On m’écrivait moins pour me rassurer que pour être rassuré : comment un cul-de-jatte pourrait-il l’être, rassuré, par une troupe d’aveugles lui expliquant avec maints soupirs dolents et cris de joie que bientôt il sera sur ses deux jambes ? Lève-toi, imbécile, et tu marcheras ! J’ai commencé à sentir que pour la victime, c’était double peine : elle était responsable non seulement d’elle-même, mais aussi de ceux qu’elle ne devait pas décevoir. Elle devait accueillir et supporter la faiblesse des autres. »

« La réalité difficile des autres était l’une de ces planètes invivables qu’on aime voir en images, entendre à la radio, lire peut-être, mais où l’on ne pourrait pas respirer une minute. »

« Étais-je en train de devenir un autre, comme elle me l’a rapidement reproché ? Le patient est un vampire, ai-je dit, et il est égoïste : je n’avais que très peu à offrir, à donner, toutes les réserves étaient prises par le combat mental et chirurgical. »

« Pour moi, rien n’était plus douloureux que l’opposition entre la permanence des êtres  et la fragilité du souvenir, quand je sentais que ce qui avait tant de fraîcheur dans la vie, et tant de férocité, n’en avait plus dans la mémoire. Je ne vivais ni le temps perdu, ni le temps retrouvé ; je vivais le temps interrompu. »

« On n’échappe pas à l’enfer dans lequel on est, on ne le détruit pas. Je ne pouvais pas éliminer la violence qui m’avait été faite, ni celle qui cherchait à en réduire les effets. Ce que je pouvais faire en revanche, c’était apprendre à vivre avec, l’apprivoiser, en recherchant, comme disait Kafka, le plus de douceur possible. »



*Élévation, Charles Baudelaire
...
...
Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse
S’élancer vers les champs lumineux et sereins;

Celui dont les pensées, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
- Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes!

« Modifié: 01 octobre 2018 à 08:39:04 par Federico »
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2710 le: 03 octobre 2018 à 03:08:35 »


https://www.youtube.com/watch?v=IfcFdh6GdM4..... Feu! Chatterton... Sari d'orcino

J'adore ! j'adore ! j'adore... cette chanson et ce mec !

Federico

à l'odeur du figuier qui est celle de l'été...

Le ruisseau est plein de tes rires , je me baigne dedans...

Alors, le matin s'est levé sur nos corps nus...

Adieu... adieu verger... adieu... adieu verger... adieu...



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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2711 le: 03 octobre 2018 à 03:30:32 »
Ne plus souffrir, ne plus haïr, savoir aimer
Au creux des reins, comme des braises abandonnées
Sur lesquelles à temps perdu, le vent vient souffler.
Se souvenir de ne pas pouvoir t’oublier.

Jacqueline Rex
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2712 le: 03 octobre 2018 à 03:53:37 »

https://www.youtube.com/watch?v=DBDi28Z7440..... City of the Sun..... Summerchild
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2713 le: 04 octobre 2018 à 03:44:14 »

Effervescente souffrance qui déborde à la moindre secousse émotionnelle...

Je veux vivre pour te déclarer mon Amour !

Je veux courir à travers la plaine et traverser des prairies où l'herbe est plus verte ...

Je veux crier, hurler ... jusqu'à me casser la voix ... JE T'AIME ....
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #2714 le: 04 octobre 2018 à 12:48:52 »

https://www.youtube.com/watch?v=Wip7HuVCzTM..... Lââm..... Petite soeur !
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