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Vivre le deuil de son conjoint / Aurélie revient sur la perte de son compagnon, Matthieu, mort au Bataclan
« Dernier message par qiguan le 13 novembre 2025 à 22:28:54 »22
Vivre le deuil de son conjoint / Re : C'est pas bientôt fini tout ce silence ?
« Dernier message par qiguan le 13 novembre 2025 à 22:27:00 »merci
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : C'est pas bientôt fini tout ce silence ?
« Dernier message par Faïk le 13 novembre 2025 à 21:14:03 »Cueillie ce soir par l'interpretation d'Eddie de Pretto : L'absent
Qu'elle est lourde à porter l'absence de l'ami
L'ami qui tous les soirs venait à cette table
Et qui ne viendra plus, la mort est misérable
Qui poignarde le cœur et qui te déconstruit
Il avait dit un jour "lorsque je m'en irai
Vers les lointains pays, au-delà de la terre
Vous ne pleurerez pas, vous lèverez vos verres
Et vous boirez pour moi à mon éternité"
Dans le creux de mes nuits, bien sûr, je voudrais bien
Boire à son souvenir pour lui rester fidèle
Mais j'ai trop de chagrin et sa voix qui m'appelle
Se plante comme un clou dans le creux de ma main
Alors je reste là, au bord de mon passé
Silencieux et vaincu, pendant que sa voix passe
Et j'écoute la vie s'installer à sa place
Sa place qui pourtant demeure abandonnée
La vie de chaque jour aux minuscules joies
Veut remplir à tout prix le vide de l'absence
Mais elle ne pourra pas, avec ses manigances
Me prendre mon ami pour la seconde fois
Elle est lourde à porter, l'absence de l'ami
Elle est lourde, l'absence de l'ami
Qu'elle est lourde à porter l'absence de l'ami
L'ami qui tous les soirs venait à cette table
Et qui ne viendra plus, la mort est misérable
Qui poignarde le cœur et qui te déconstruit
Il avait dit un jour "lorsque je m'en irai
Vers les lointains pays, au-delà de la terre
Vous ne pleurerez pas, vous lèverez vos verres
Et vous boirez pour moi à mon éternité"
Dans le creux de mes nuits, bien sûr, je voudrais bien
Boire à son souvenir pour lui rester fidèle
Mais j'ai trop de chagrin et sa voix qui m'appelle
Se plante comme un clou dans le creux de ma main
Alors je reste là, au bord de mon passé
Silencieux et vaincu, pendant que sa voix passe
Et j'écoute la vie s'installer à sa place
Sa place qui pourtant demeure abandonnée
La vie de chaque jour aux minuscules joies
Veut remplir à tout prix le vide de l'absence
Mais elle ne pourra pas, avec ses manigances
Me prendre mon ami pour la seconde fois
Elle est lourde à porter, l'absence de l'ami
Elle est lourde, l'absence de l'ami
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : être séparés dans cette vie-ci
« Dernier message par qiguan le 12 novembre 2025 à 19:01:27 »Citer
i j'ai conservé les mêmes durant tout ce temps, c'est qu'ils m'apportent quelque chose de doux et de réconfortant, sans m'empêcher de profiter de la vie par ailleursc'est très bien de trouver ce qui nous convient ... quand on le trouve
Nous sommes tous différents certains ont besoin de certaines choses d'autres c'est l'inverse ce qui compte c'est de sentir que l'on fait le mieux pour soi
Citer
j'ai pourtant trouvé le moyen de les surmonter, surtout garce à mes méthodes de relaxation, et autres outils employés. Je reste vigilante, mais en ce moment je suis plutôt sereine.c'est très bien que tu puisses surmonter les à coups des vagues du deuil
Je sais que tu sais utiliser tout ce que tu as trouvé qui convenait à tes besoins dans tes deuils
c'est bien
je t'embrasse
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : être séparés dans cette vie-ci
« Dernier message par Stana le 12 novembre 2025 à 14:38:20 » Merci Qiguan, tes paroles me font toujours beaucoup de bien
et pouvoir en parler ici aussi-quand ça arrive dans la vie de tous les jours, c'est un cadeau précieux quand on rencontre les bons interlocuteurs; mais comme c'est plus rare, ce forum est d'autant plus important. Je suis sûre que nous y avons tous pensé
Cette période de la Toussaint-et ses alentours, notament ce 3 novembre, jour-anniversaire du décès de Jean-Philippe, qui est bien le pire souvenir de ma vie
-s'est déroulée à peu près paisiblement. Je me suis recueuillie dans ces cimetières qui font maintenant partie de ma vie, puisqu'ils sont liés à des êtres aimés, et que venir leur y rendre hommage est indispensable à mes yeux. Je sais que ces lieux ne sont pas ce qui comptent le plus, ce sont leurs âmes et les heureux souvenirs partagés qui importent vraiment
mais ces endroits restent malgrès tout importants pour moi; c'est là qu'e leurs dépouilles ont été inhumézs-que les cendres ont été répandues pour Jean-Philippe-j'y reste donc attachée, sans exagèration. L'expèrience du deuil m'a appris un certain détachement concernant ce côté "matériel", mais je sais que j'en aurai toujours besoin, surtout à certaines périodes. Et, à chaque fois, c'est un sentiment de paix, teinté de douce nostalgie, que je ressens; plus de tristesse vis-à-vis de mon père, parce-que c'est trés réçent, mais une forme de sérénité s'est tout de même installée; elle a encore du chemin à faire pour être telle que celle que je ressens vis-à-vis de mes aimés (et de mes amis d'ailleurs-mais c'est encourageant
J'ai pensé trés fort à Pierre et à Marie-France ce 10 novembre (autre date-clé, puisqu'il s'agissait de leur anniversaire terrestre à tous les deux; j'ai conscience que ces dates-là ne doivent plus avoir la moindre importance pour eux, mais comme elles en ont toujours pour moi, je suppose qu'ils le savent aussi
) Je pense aussi qu'il faut garder les rituels de deuil qui sont importants pour nous. Si j'ai conservé les mêmes durant tout ce temps, c'est qu'ils m'apportent quelque chose de doux et de réconfortant, sans m'empêcher de profiter de la vie par ailleurs
Il m'arrive ces jours-ci de passer un certain temps-par-ci par-là-sans me dire consciemment que mon papa n'est plus là; je ne veux pas dire que j'oublie son décès, et encore moins que je l'oublie lui, loin de là. Simplement-et bien que son souvenir soit omniprésent, quelque part, en arrière-plan-il arrive que cette forme de tristesse liée à la pensée consciente, quand le deuil est réçent, s'estompe, et que je vive le quotidien sans y penser sciemment. C'est difficile à expliquer, même si ça concerne tous les deuils, je suis bien placée pour le savoir; il me semble que j'en avais déjà parlé pour d'autres deuils
il y a l'amour toujours présent en nous, à chaque instant, mais sans avoir toujours besoin de la pensée consciente pour l'accompagner, je ne trouve pas d'autres mots. Et quand ces véritables pensées reviennent, je les dirige automatiquement vers des souvenirs trés chers, dont certains font sourire avec tendresse, et parfois humour quand j'èvoque de petites anecdotes: ces souvenirs-là sont aussi précieux que tous les autres
Comme tous les ans, j'ai installé mon petit sapin à l'avance; je l'ai décoré, ainsi que le reste de l'appartement; ça aussi, c'est l'un des outils qui me font le plus de bien, depuis toujours-enfin, je parle d'il y a plus de dix ans
j'ai déjà longuement èvoqué, l'année dernière, les petits symboles qui s'y rattachent-souvenirs d'enfance, auquels je pense particulièrement cette année, souvenirs de ces deux réveillons-un chacun
-partagés avec Pierre et Jean-Philippe, à Marie-France aussi, qui ètait venue chez moi durant cette période...après la mort de Jean-Philippe. Les décorations que ce dernier aimait tant, les petits signes matériels que j'ai perçus comme venant de Pierre...il y a aussi le côté réconfortant, à tout egars, des boissons ou aliments liés à la fin de l'année, notamment le chocolat chaud et le lait de poule parfumé à la fleur d'oranger
J'ai pensé plusieurs fois, ces dernières semaines, à de trés mauvais souvenirs-je suppose qu'il y a un rapport avec le deuil de mon papa, ajouté à tout ce que m'évoque cette période de l'année
j'ai pourtant trouvé le moyen de les surmonter, surtout garce à mes méthodes de relaxation, et autres outils employés. Je reste vigilante, mais en ce moment je suis plutôt sereine.
Je passerai sur les autres topics la prochaine fois. En attendant, mes pensées amicales vous accompagnent sincèrement

et pouvoir en parler ici aussi-quand ça arrive dans la vie de tous les jours, c'est un cadeau précieux quand on rencontre les bons interlocuteurs; mais comme c'est plus rare, ce forum est d'autant plus important. Je suis sûre que nous y avons tous pensé
Cette période de la Toussaint-et ses alentours, notament ce 3 novembre, jour-anniversaire du décès de Jean-Philippe, qui est bien le pire souvenir de ma vie
-s'est déroulée à peu près paisiblement. Je me suis recueuillie dans ces cimetières qui font maintenant partie de ma vie, puisqu'ils sont liés à des êtres aimés, et que venir leur y rendre hommage est indispensable à mes yeux. Je sais que ces lieux ne sont pas ce qui comptent le plus, ce sont leurs âmes et les heureux souvenirs partagés qui importent vraiment
mais ces endroits restent malgrès tout importants pour moi; c'est là qu'e leurs dépouilles ont été inhumézs-que les cendres ont été répandues pour Jean-Philippe-j'y reste donc attachée, sans exagèration. L'expèrience du deuil m'a appris un certain détachement concernant ce côté "matériel", mais je sais que j'en aurai toujours besoin, surtout à certaines périodes. Et, à chaque fois, c'est un sentiment de paix, teinté de douce nostalgie, que je ressens; plus de tristesse vis-à-vis de mon père, parce-que c'est trés réçent, mais une forme de sérénité s'est tout de même installée; elle a encore du chemin à faire pour être telle que celle que je ressens vis-à-vis de mes aimés (et de mes amis d'ailleurs-mais c'est encourageant
J'ai pensé trés fort à Pierre et à Marie-France ce 10 novembre (autre date-clé, puisqu'il s'agissait de leur anniversaire terrestre à tous les deux; j'ai conscience que ces dates-là ne doivent plus avoir la moindre importance pour eux, mais comme elles en ont toujours pour moi, je suppose qu'ils le savent aussi
) Je pense aussi qu'il faut garder les rituels de deuil qui sont importants pour nous. Si j'ai conservé les mêmes durant tout ce temps, c'est qu'ils m'apportent quelque chose de doux et de réconfortant, sans m'empêcher de profiter de la vie par ailleurs
Il m'arrive ces jours-ci de passer un certain temps-par-ci par-là-sans me dire consciemment que mon papa n'est plus là; je ne veux pas dire que j'oublie son décès, et encore moins que je l'oublie lui, loin de là. Simplement-et bien que son souvenir soit omniprésent, quelque part, en arrière-plan-il arrive que cette forme de tristesse liée à la pensée consciente, quand le deuil est réçent, s'estompe, et que je vive le quotidien sans y penser sciemment. C'est difficile à expliquer, même si ça concerne tous les deuils, je suis bien placée pour le savoir; il me semble que j'en avais déjà parlé pour d'autres deuils
il y a l'amour toujours présent en nous, à chaque instant, mais sans avoir toujours besoin de la pensée consciente pour l'accompagner, je ne trouve pas d'autres mots. Et quand ces véritables pensées reviennent, je les dirige automatiquement vers des souvenirs trés chers, dont certains font sourire avec tendresse, et parfois humour quand j'èvoque de petites anecdotes: ces souvenirs-là sont aussi précieux que tous les autres
Comme tous les ans, j'ai installé mon petit sapin à l'avance; je l'ai décoré, ainsi que le reste de l'appartement; ça aussi, c'est l'un des outils qui me font le plus de bien, depuis toujours-enfin, je parle d'il y a plus de dix ans
j'ai déjà longuement èvoqué, l'année dernière, les petits symboles qui s'y rattachent-souvenirs d'enfance, auquels je pense particulièrement cette année, souvenirs de ces deux réveillons-un chacun
-partagés avec Pierre et Jean-Philippe, à Marie-France aussi, qui ètait venue chez moi durant cette période...après la mort de Jean-Philippe. Les décorations que ce dernier aimait tant, les petits signes matériels que j'ai perçus comme venant de Pierre...il y a aussi le côté réconfortant, à tout egars, des boissons ou aliments liés à la fin de l'année, notamment le chocolat chaud et le lait de poule parfumé à la fleur d'oranger
J'ai pensé plusieurs fois, ces dernières semaines, à de trés mauvais souvenirs-je suppose qu'il y a un rapport avec le deuil de mon papa, ajouté à tout ce que m'évoque cette période de l'année
j'ai pourtant trouvé le moyen de les surmonter, surtout garce à mes méthodes de relaxation, et autres outils employés. Je reste vigilante, mais en ce moment je suis plutôt sereine. Je passerai sur les autres topics la prochaine fois. En attendant, mes pensées amicales vous accompagnent sincèrement

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Vivre le deuil de son conjoint / Re : 6 mois que tu es parti
« Dernier message par qiguan le 12 novembre 2025 à 13:38:53 »non je ne connais pas je n'écoute pas de Rap
et Manau est un groupe de rap breton d'inspiration celtique français formé en 1998
https://www.paroles.net/manau/paroles-dernier-combat
c'est bien écrit effectivement
et Manau est un groupe de rap breton d'inspiration celtique français formé en 1998
https://www.paroles.net/manau/paroles-dernier-combat
c'est bien écrit effectivement
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : 6 mois que tu es parti
« Dernier message par Paddy le 12 novembre 2025 à 09:23:15 »Bonjour,
Je ne sais pas si vous connaissez cette chanson "dernier combat" de Manau
https://www.youtube.com/watch?v=saxLY6js7lQ&t=8s
C'est sortie en 2000, je crois.
Je l'écoute en boucle. J'ai l'impression que c'est mon histoire? La notre à toutes et tous peut être ?
Je ne sais pas si vous connaissez cette chanson "dernier combat" de Manau
https://www.youtube.com/watch?v=saxLY6js7lQ&t=8s
C'est sortie en 2000, je crois.
Je l'écoute en boucle. J'ai l'impression que c'est mon histoire? La notre à toutes et tous peut être ?
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Vivre Le Deuil / A l'horizon
« Dernier message par Helvegen le 12 novembre 2025 à 07:44:19 »Bonjour à tous.
Je ne sais pas où me présenter et évoquer ma situation, alors je le met ici.
J'ai choisi pour pseudo Helvegen, qui est une chanson funéraire du groupe norvégien Wardruna.
Elle parle du voyage de l’âme après la mort, de la mémoire des ancêtres et de la continuité entre la vie et la mort.
Le morceau évoque la mort non comme une fin, mais comme une transition, une route que tout être doit un jour emprunter.
J'ai traversé de nombreux deuils. Pour résumé, je suis le dernier d'une fratrie de six enfants.
En 10 ans, les trois aînés sont morts, suivi de mon père et pour finir, ma maman, qui a fait un syndrome de glissement.
Je vous passe les détails. L'année 2025 fût particulièrement difficile à bien des niveaux. Mon dernier compagnon était mon vieux chien, qui a fini par passer le pont de l'arc en ciel il y a déjà un peu plus d'un mois. Et le deuil animalier est tout aussi dévastateur que n'importe quel autre deuil. Depuis j'ai oscillé entre problèmes de santé et tentatives de suicide.
Aujourd'hui, j'ai réussi plus ou moins à faire taire les envies suicidaires (paradoxalement, en préparant mes propres obsèques auprès des PFG, un effet cathartique), un suivi psychiatrique intensif et la mise en place d'un traitement.
Je vis seul, je me suis coupé du monde et c'est bien comme ça. Je n'ai pas envie de voir du monde . De me justifier. "Tu ne travailles pas?" "Comment tu vas"... je ne supporte plus ces mots.
Voilà, merci à ceux qui auront pris la peine de me lire. Je ne sais pas si je partagerai d'autres messages sur le forum. Courage à tous et force à vous. On ne peut que se serrer les coudes devant l'adversité.
Nos proches ne sont pas bien loin.
Je ne sais pas où me présenter et évoquer ma situation, alors je le met ici.
J'ai choisi pour pseudo Helvegen, qui est une chanson funéraire du groupe norvégien Wardruna.
Elle parle du voyage de l’âme après la mort, de la mémoire des ancêtres et de la continuité entre la vie et la mort.
Le morceau évoque la mort non comme une fin, mais comme une transition, une route que tout être doit un jour emprunter.
J'ai traversé de nombreux deuils. Pour résumé, je suis le dernier d'une fratrie de six enfants.
En 10 ans, les trois aînés sont morts, suivi de mon père et pour finir, ma maman, qui a fait un syndrome de glissement.
Je vous passe les détails. L'année 2025 fût particulièrement difficile à bien des niveaux. Mon dernier compagnon était mon vieux chien, qui a fini par passer le pont de l'arc en ciel il y a déjà un peu plus d'un mois. Et le deuil animalier est tout aussi dévastateur que n'importe quel autre deuil. Depuis j'ai oscillé entre problèmes de santé et tentatives de suicide.
Aujourd'hui, j'ai réussi plus ou moins à faire taire les envies suicidaires (paradoxalement, en préparant mes propres obsèques auprès des PFG, un effet cathartique), un suivi psychiatrique intensif et la mise en place d'un traitement.
Je vis seul, je me suis coupé du monde et c'est bien comme ça. Je n'ai pas envie de voir du monde . De me justifier. "Tu ne travailles pas?" "Comment tu vas"... je ne supporte plus ces mots.
Voilà, merci à ceux qui auront pris la peine de me lire. Je ne sais pas si je partagerai d'autres messages sur le forum. Courage à tous et force à vous. On ne peut que se serrer les coudes devant l'adversité.
Nos proches ne sont pas bien loin.
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Pourquoi elle...
« Dernier message par Fergusonika le 12 novembre 2025 à 02:19:01 »@Slope Game Damien, your story is heartbreaking, and your strength in sharing it is admirable. It's completely normal to feel a mix of emotions, including guilt alongside moments of peace. Grief is a journey with no set timeline or "right" way to experience it. Finding moments of lightness is a sign of resilience, not a betrayal.
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Pourquoi elle...
« Dernier message par qiguan le 10 novembre 2025 à 23:03:01 »Dams8024 triste "bienvenue" ici
Tu peux lire tout ceci extrait de en guise de table des matières
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/pour-les-hommes-arrivant-ici/msg133390/#msg133390
SPÉCIAL PERTE CONJOINT Dr FAURE et lire son livre
https://youtu.be/_53i0gzT3WI
Chaque deuil est différent même si certaines choses sont similaires ... ce qui compte, c'est ce que tu sens qui te fait du bien, ce qui est douloureux ou le deviendra, viendra bien à temps et autant avoir engrangé des choses qui apportent un brin d'équilibre : travail ...
le chemin sera très long, bien au delà des un an ...
nous te lirons si tu écris, parfois tu auras des réponses d'autres peut être pas et tu peux lire les anciens via
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/en-guise-de-table-des-matieres/msg63228/#msg63228
moi c'est ce qui m'a le plus servi en plus des rencontre avec d'autres veuves et veufs connu.e.s ici et via "dialogue solidarité"
prends soin de toi comme tu penses qu'elle voudrait que tu le fasses
Tu peux lire tout ceci extrait de en guise de table des matières
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/pour-les-hommes-arrivant-ici/msg133390/#msg133390
SPÉCIAL PERTE CONJOINT Dr FAURE et lire son livre
https://youtu.be/_53i0gzT3WI
Chaque deuil est différent même si certaines choses sont similaires ... ce qui compte, c'est ce que tu sens qui te fait du bien, ce qui est douloureux ou le deviendra, viendra bien à temps et autant avoir engrangé des choses qui apportent un brin d'équilibre : travail ...
le chemin sera très long, bien au delà des un an ...
nous te lirons si tu écris, parfois tu auras des réponses d'autres peut être pas et tu peux lire les anciens via
http://forumdeuil.comemo.org/vivre-le-deuil-de-son-conjoint/en-guise-de-table-des-matieres/msg63228/#msg63228
moi c'est ce qui m'a le plus servi en plus des rencontre avec d'autres veuves et veufs connu.e.s ici et via "dialogue solidarité"
prends soin de toi comme tu penses qu'elle voudrait que tu le fasses
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