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Vivre la perte d'un parent / Re : Tu n'es pas seule , petite âmes : Les mots que j'aurais voulu entendre
« Dernier message par Lulu0810 le Aujourd'hui à 00:28:29 »Les larmes ont coulé tout le long de la lecture, si tu écris ça c’est que tu as dû le ressentir tant de fois, merci pour ce partage et cette bienveillance
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Vivre la perte d'un parent / Perte de ma maman à 22 ans
« Dernier message par Lulu0810 le Aujourd'hui à 00:24:09 »Bonjour,
Je n’ai jamais osé écrire sur un forum mais le fait est que le temps passe et que la douleur ne s’estompe pas. J’ai l’impression d’être bloquée, de ne plus vivre depuis le décès de ma mère. Cela va faire 4 ans bientôt. J’avais 22 ans quand elle est décédée d’un cancer du pancréas. Je me suis occupée d’elle pendant l’année où lon a appris sa maladie. Enfin je me suis occupée d’elle c’est un grand mot, je me rappelle avoir été très en colère, presqu’ingrate avec elle en vérité. On avait une relation très fusionnelle quand j’étais jeune et jusqu’à l’adolescence puis la relation est devenue très conflictuelle et ce jusqu’à sa mort malheureusement. Malgré tout notre relation était très intense et j’ai eu la chance d’avoir un gros pressentiment la veille de sa mort qui m’a permit de passer toute la nuit avec elle.
Le fait est que j’ai l’impression que tout ça s’est passé hier alors que c’était il y a quatre ans. Je n’arrive pas à me défaire de cette culpabilité, de cette solitude, de tous ces souvenirs. Je vois des conversations où les gens disent que la douleur part. Et même s’il y a des jours où je fais abstraction de ce sentiment insupportable de ne plus avoir cet amour inconditionnel dans ma vie et bien au bout du compte tout me ramène à elle. Je stagne, je n’avance pas, le temps passe et je ne suis plus personne, je n’arrive pas à savoir qui je suis sans elle.
Bref j’ai un peu tout posé comme ça et ça m’a fait du bien je crois, je ne sais pas si quelqu’un comprendra ce sentiment
Je n’ai jamais osé écrire sur un forum mais le fait est que le temps passe et que la douleur ne s’estompe pas. J’ai l’impression d’être bloquée, de ne plus vivre depuis le décès de ma mère. Cela va faire 4 ans bientôt. J’avais 22 ans quand elle est décédée d’un cancer du pancréas. Je me suis occupée d’elle pendant l’année où lon a appris sa maladie. Enfin je me suis occupée d’elle c’est un grand mot, je me rappelle avoir été très en colère, presqu’ingrate avec elle en vérité. On avait une relation très fusionnelle quand j’étais jeune et jusqu’à l’adolescence puis la relation est devenue très conflictuelle et ce jusqu’à sa mort malheureusement. Malgré tout notre relation était très intense et j’ai eu la chance d’avoir un gros pressentiment la veille de sa mort qui m’a permit de passer toute la nuit avec elle.
Le fait est que j’ai l’impression que tout ça s’est passé hier alors que c’était il y a quatre ans. Je n’arrive pas à me défaire de cette culpabilité, de cette solitude, de tous ces souvenirs. Je vois des conversations où les gens disent que la douleur part. Et même s’il y a des jours où je fais abstraction de ce sentiment insupportable de ne plus avoir cet amour inconditionnel dans ma vie et bien au bout du compte tout me ramène à elle. Je stagne, je n’avance pas, le temps passe et je ne suis plus personne, je n’arrive pas à savoir qui je suis sans elle.
Bref j’ai un peu tout posé comme ça et ça m’a fait du bien je crois, je ne sais pas si quelqu’un comprendra ce sentiment
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : C'est pas bientôt fini tout ce silence ?
« Dernier message par Faïk le Hier à 11:04:46 »La Roussette, Shaun et moi-même te remercions de tes pensées ... 

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Vivre le deuil de son conjoint / Re : C'est pas bientôt fini tout ce silence ?
« Dernier message par qiguan le Hier à 10:11:47 »je ne crois pas à la rédemption cela ne fait aucunement parti de mon univers
mais j'ai constamment oeuvré quand un souvenir de "mal vécu" avec un parent ou avec Jean resurgissait
je l'ai "analysé avec les filtres de la psychologie et mon parcours perso de deuil soutenu par un accompagnement constant de professionnels psys
et je l'ai apaisé avec EMDR
plus en verbalisant comme si la personne était là "je pardonne à cette situation qui nous a séparés, en quelque sorte un moment, je comprends autrement à présent, et je te dis je t'aime et n'ai jamais cessé de t'aimer et je sais que tu m'aimes pour mon toujours"
voilà mon tout petit témoignage/difficultés relationnelles anciennes que j'ai eu avec mes défunts.
je te souhaite plein de douceur cette fin d'année avec les tiens
et clin d'oeil à Shawn et la roussette
embrelacement
mais j'ai constamment oeuvré quand un souvenir de "mal vécu" avec un parent ou avec Jean resurgissait
je l'ai "analysé avec les filtres de la psychologie et mon parcours perso de deuil soutenu par un accompagnement constant de professionnels psys
et je l'ai apaisé avec EMDR
plus en verbalisant comme si la personne était là "je pardonne à cette situation qui nous a séparés, en quelque sorte un moment, je comprends autrement à présent, et je te dis je t'aime et n'ai jamais cessé de t'aimer et je sais que tu m'aimes pour mon toujours"
voilà mon tout petit témoignage/difficultés relationnelles anciennes que j'ai eu avec mes défunts.
je te souhaite plein de douceur cette fin d'année avec les tiens
et clin d'oeil à Shawn et la roussette
embrelacement
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : C'est pas bientôt fini tout ce silence ?
« Dernier message par Faïk le Hier à 10:04:15 »Décembre qui avance en tapinois et je pense à Ma' avec qui j'ai si souvent mal vécu. Et avec la tentation d'une relation apaisée, elle dans la mort et moi ici. C'est un chemin difficile pour qui ne croit pas vraiment à la rédemption....
Mes souvenirs commencent
Maintenant ?
Mes souvenirs commencent
Maintenant ?
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : être séparés dans cette vie-ci
« Dernier message par qiguan le 04 décembre 2025 à 21:32:15 »Tu expérimentes dans le deuil de ton papa des choses qui ne sont pas du même rythme, tempo que tes autres deuils.
Cela ne doit d'abord nous montrer que rien n'est figé, rien classable en normal ou pas.
Les expériences de deuils marquent ta vie et tout au long, tu expérimentes comment survivre ou continuer à vivre peut se présenter de manière différente.
La Vie nous traverse et que notre mental le veuille ou non, tant qu'on est vivant, nous entraîne, souvent malgré nous, vers la prolongation de la vie, du vivant, malgré les apparences, dans le désespoir de ce qui est perdu à jamais.
Ici, certain.e.s ont douté du à quoi bon, mais sont encore dans la vie, en survie et si pour elles, eux, elle semble ne servir à rien, elle sert ... pour certains aux enfants, pour d'autres aux ami.e.s ...
Tu sais prendre soin de ta sensibilité, tu te connais, maintenant
continue à bien profiter de l'écho de douceur, de réconfort de chaque moment
je t'embrasse

Cela ne doit d'abord nous montrer que rien n'est figé, rien classable en normal ou pas.
Les expériences de deuils marquent ta vie et tout au long, tu expérimentes comment survivre ou continuer à vivre peut se présenter de manière différente.
La Vie nous traverse et que notre mental le veuille ou non, tant qu'on est vivant, nous entraîne, souvent malgré nous, vers la prolongation de la vie, du vivant, malgré les apparences, dans le désespoir de ce qui est perdu à jamais.
Ici, certain.e.s ont douté du à quoi bon, mais sont encore dans la vie, en survie et si pour elles, eux, elle semble ne servir à rien, elle sert ... pour certains aux enfants, pour d'autres aux ami.e.s ...
Tu sais prendre soin de ta sensibilité, tu te connais, maintenant
continue à bien profiter de l'écho de douceur, de réconfort de chaque moment
je t'embrasse

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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Mon amour est parti, brutalement
« Dernier message par Stana le 04 décembre 2025 à 14:55:13 » Si j'ai pus t'aider en quoi que ce soit Pandor, j'en suis heureuse
que l'on soit fou amoureux ou non, ressentir de nouveau ce genre de sentiments fait toujours du bien sur le moment, ça reste de belles èmotions, et porteuses d'espoir, qu'ils durent ou non et quelle que soit leur intensité. Tu avais peut-être besoin de ça à ce moment précis de ta vie, même si tu n'ètais pas encore prêt à ouvrir totalement ton coeur. Ce sont des choses qui ne se commandent pas, ni dans un sens ni dans l'autre. Il ne faut rien brusquer, non plus.

que l'on soit fou amoureux ou non, ressentir de nouveau ce genre de sentiments fait toujours du bien sur le moment, ça reste de belles èmotions, et porteuses d'espoir, qu'ils durent ou non et quelle que soit leur intensité. Tu avais peut-être besoin de ça à ce moment précis de ta vie, même si tu n'ètais pas encore prêt à ouvrir totalement ton coeur. Ce sont des choses qui ne se commandent pas, ni dans un sens ni dans l'autre. Il ne faut rien brusquer, non plus. 
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : être séparés dans cette vie-ci
« Dernier message par Stana le 04 décembre 2025 à 14:48:42 » Comme je l'ai déjà dis, quand mon papa venait chez moi, j'aimais beaucoup regarder la télé avec lui, commenter les programmes, etc...c'était des moments simples de complicité père-fille que nous apprèçions tous les deux, et qui me rappelaient d'autres moments, plus anciens-j'habitais alors chez mes parents, et j'adorais passer des films, émissions...que parfois j'enregistrais exprès, pour mon papa et moi, et que nous regardions ensemble. Comme, depuis environ un an, ce n'était plus possible, il n'était pas rare que je regarde telle émission seule, en imaginant les commentaires qu'aurait certainement faits mon père
Après son décès, je me suis dis que je ne devrais pas de sitôt refaire ce genre de chose, parce-que ce serait trop douloureux. Je fais souvent de ces petits rituels en pensant à Pierre, Jean-Philippe, Marie-France...de leur vivant, regarder la télé avec eux était une joie, et comme je connais par coeur ce qu'ont été leurs goûts, j'imaginais ce qu'ils auraient dis, nos commentaires et échanges durant tels ou tels programmes (je pense cependant à un seul à la fois quand je fais, dans ma tête ou parfois à voix haute
, ces petits rituels, je ne veux pas tout mélanger). Il m'a fallut du temps pour faire ce genre de choses naturellement et sans douleur. Je pensais qu'il en serait de même durant ce nouveau deuil, et je ne voulais pas souffrir excessivement.
A ma grande surprise, et alors que je ne le voulais pas, quelques jours après la mort de papa, ce rituel s'est mis en place tout seul
j'ètais devant ma télé, et je ne sais plus quelle émission est passée, mais tout naturellement, dans ma tête, s'est mis en place le dialogue, la complicité que j'aurais pus avoir avec lui à cette occasion
j'ai été agréablement surprise, parce-que c'était tout-à-fait involontaire. Tout en continuant à marcher sur des oeufs, je me suis autorisé d'autres instants du même genre, par-ci par-là, et ça s'est plutôt bien passé. Apparement, mon subconscient savait mieux que moi ce que je pouvais me permettre, c'est toujours lui qu'il faut ècouter.
Depuis son enterrement, ce petit rituel, ou plutôt hommage maintenant-comme c'est le cas pour mes aimés et amis qui ne sont plus de ce monde-est devenu plus naturel encore, autant que tout autre-déguster ses plats prèfèrés, revivre certaines de nos petites habitudes, èvoquer les beaux souvenirs...le sentiment de vide est toujours là, bien sûr, et ça n'a pas été évident d'accepter de vivre dans un monde où, désormais, mon papa n'est plus
mais l'expèrience de mes autres deuils aidant, j'ai sus-je sais-ce que je pouvais, peux faire pour me sentir mieux. Je dis les choses comme elles me viennent, j'espère qu'on me comprendra. J'ajouterai que je devais m'y prèparer, plus ou moins, depuis un certain temps.
Il y a quelques jours, j'ai pensé-sans le faire exprès là encore-à un souvenir joyeux et amusant partagé avec mon papa-et spontanément, sans rester "sur mes gardes" au cas où...c'était tellement naturel que j'en ai ris à voix haute, je me sentais vraiment heureuse de revivre ce petit moment
j'en ai été étonnée juste après, mais rassurée aussi, parce-que j'ai ressentis ça comme une étape. Quelle que soit la durée du deuil et au-delà, la nostalgie reste, je le sais, et ce sera toujours le cas pour ce deuil-là aussi. Je sais que je dois accepter la tristesse qui va avec, et la laisser se changer, peu à peu, en cette nostalgie plus douce qui a déjà commencé à se mettre en place, et se manifeste par ces souvenirs drôles et émouvants, par mes petits rituels de deuil ou hommages
je sais qu'un jour, cette douce nostalgie qui fait sourire prendra complètement le pas sur la tristesse, mais je savoure déjà ces petits instants précieux.
Voilà...je pense que j'ai tout dit à ce propos
Après son décès, je me suis dis que je ne devrais pas de sitôt refaire ce genre de chose, parce-que ce serait trop douloureux. Je fais souvent de ces petits rituels en pensant à Pierre, Jean-Philippe, Marie-France...de leur vivant, regarder la télé avec eux était une joie, et comme je connais par coeur ce qu'ont été leurs goûts, j'imaginais ce qu'ils auraient dis, nos commentaires et échanges durant tels ou tels programmes (je pense cependant à un seul à la fois quand je fais, dans ma tête ou parfois à voix haute
, ces petits rituels, je ne veux pas tout mélanger). Il m'a fallut du temps pour faire ce genre de choses naturellement et sans douleur. Je pensais qu'il en serait de même durant ce nouveau deuil, et je ne voulais pas souffrir excessivement.A ma grande surprise, et alors que je ne le voulais pas, quelques jours après la mort de papa, ce rituel s'est mis en place tout seul
j'ètais devant ma télé, et je ne sais plus quelle émission est passée, mais tout naturellement, dans ma tête, s'est mis en place le dialogue, la complicité que j'aurais pus avoir avec lui à cette occasion
j'ai été agréablement surprise, parce-que c'était tout-à-fait involontaire. Tout en continuant à marcher sur des oeufs, je me suis autorisé d'autres instants du même genre, par-ci par-là, et ça s'est plutôt bien passé. Apparement, mon subconscient savait mieux que moi ce que je pouvais me permettre, c'est toujours lui qu'il faut ècouter.Depuis son enterrement, ce petit rituel, ou plutôt hommage maintenant-comme c'est le cas pour mes aimés et amis qui ne sont plus de ce monde-est devenu plus naturel encore, autant que tout autre-déguster ses plats prèfèrés, revivre certaines de nos petites habitudes, èvoquer les beaux souvenirs...le sentiment de vide est toujours là, bien sûr, et ça n'a pas été évident d'accepter de vivre dans un monde où, désormais, mon papa n'est plus
mais l'expèrience de mes autres deuils aidant, j'ai sus-je sais-ce que je pouvais, peux faire pour me sentir mieux. Je dis les choses comme elles me viennent, j'espère qu'on me comprendra. J'ajouterai que je devais m'y prèparer, plus ou moins, depuis un certain temps. Il y a quelques jours, j'ai pensé-sans le faire exprès là encore-à un souvenir joyeux et amusant partagé avec mon papa-et spontanément, sans rester "sur mes gardes" au cas où...c'était tellement naturel que j'en ai ris à voix haute, je me sentais vraiment heureuse de revivre ce petit moment
j'en ai été étonnée juste après, mais rassurée aussi, parce-que j'ai ressentis ça comme une étape. Quelle que soit la durée du deuil et au-delà, la nostalgie reste, je le sais, et ce sera toujours le cas pour ce deuil-là aussi. Je sais que je dois accepter la tristesse qui va avec, et la laisser se changer, peu à peu, en cette nostalgie plus douce qui a déjà commencé à se mettre en place, et se manifeste par ces souvenirs drôles et émouvants, par mes petits rituels de deuil ou hommages
je sais qu'un jour, cette douce nostalgie qui fait sourire prendra complètement le pas sur la tristesse, mais je savoure déjà ces petits instants précieux.Voilà...je pense que j'ai tout dit à ce propos
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : être séparés dans cette vie-ci
« Dernier message par Stana le 04 décembre 2025 à 14:06:15 » Merci mille fois pour ces paroles ma chère Qiguan
oh oui, j'avais besoin de me sentir comprise, entendue, et c'est souvent très difficile au quotidien
comme tu dis, cet homme (comme beaucoup de gens d'ailleurs), ne connait pas mes traumatismes et la vulnérabilité qui va avec. Sur le moment, oui, il croyait sûrement bien faire, mais il n'est pas à ma place-ni à la place d'autres personnes qu'il juge mal. Il est comme ça, et nous sommes plusieurs à l'avoir remarqué. Ca me rassure...et ta réponse me réconforte plus encore
oui, je vais continuer à m'ouvrir aux personnes de confiance, et être plus prudente que jamais vis-à-vis des autres.
Maintenir une distance,, psychique quand elle ne peux pas être physique, avec ce faux ami notament, c'est la seule solution. Quelques mots anodins, quand il n'y a pas moyen de faire autrement, et puis c'est tout. J'ai d'ailleurs toutes les raisons de penser que je ne lui suis plus sympathique non plus; sans s'en prendre à moi à proprement parlé, il s'arrange maintenant pour m'envoyer des piques comme on dit, des petites réflexions méchantes, mine de rien, c'est sournois
je prèfère ne pas lui répondre dans ces cas-là. Heureusement, je me sens soutenue par ceux qui m'apprècient vraiment, et je ne pense vraiment pas qu'il pourrait les monter contre moi-d'autres ont essayé. et èchoué. Mais, encore une fois, je reste vigilante, on ne sais jamais. Ca aussi, je t'en dirai un mot en mp quand je me sentirai prète
mais ça vas déjà mieux.
Concernant ces dernières semaines, j'ai besoin de parler de ce que je n'ai pas encore dit à propos du décès de mon père. J'ai ècrit le principal, mais je ne serai pas tranquille tant que je n'aurai pas tout dit-comme ça a été le cas vis-à-vis de tous mes autres deuils sans exception.
oh oui, j'avais besoin de me sentir comprise, entendue, et c'est souvent très difficile au quotidien
comme tu dis, cet homme (comme beaucoup de gens d'ailleurs), ne connait pas mes traumatismes et la vulnérabilité qui va avec. Sur le moment, oui, il croyait sûrement bien faire, mais il n'est pas à ma place-ni à la place d'autres personnes qu'il juge mal. Il est comme ça, et nous sommes plusieurs à l'avoir remarqué. Ca me rassure...et ta réponse me réconforte plus encore
oui, je vais continuer à m'ouvrir aux personnes de confiance, et être plus prudente que jamais vis-à-vis des autres. Maintenir une distance,, psychique quand elle ne peux pas être physique, avec ce faux ami notament, c'est la seule solution. Quelques mots anodins, quand il n'y a pas moyen de faire autrement, et puis c'est tout. J'ai d'ailleurs toutes les raisons de penser que je ne lui suis plus sympathique non plus; sans s'en prendre à moi à proprement parlé, il s'arrange maintenant pour m'envoyer des piques comme on dit, des petites réflexions méchantes, mine de rien, c'est sournois
je prèfère ne pas lui répondre dans ces cas-là. Heureusement, je me sens soutenue par ceux qui m'apprècient vraiment, et je ne pense vraiment pas qu'il pourrait les monter contre moi-d'autres ont essayé. et èchoué. Mais, encore une fois, je reste vigilante, on ne sais jamais. Ca aussi, je t'en dirai un mot en mp quand je me sentirai prète
mais ça vas déjà mieux. Concernant ces dernières semaines, j'ai besoin de parler de ce que je n'ai pas encore dit à propos du décès de mon père. J'ai ècrit le principal, mais je ne serai pas tranquille tant que je n'aurai pas tout dit-comme ça a été le cas vis-à-vis de tous mes autres deuils sans exception.
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Vivre le deuil de son conjoint / Re : Mon amour est parti, brutalement
« Dernier message par Pandor le 04 décembre 2025 à 10:52:47 »Bonjour Stana
Oui tu as raison. Cependant je n'ai pas été fou amoureux, j'ai conservé des blocages suite à mon deuil, tout au long de la relation... mais je m'en contentais on va dire
Merci pour tes mots
Oui tu as raison. Cependant je n'ai pas été fou amoureux, j'ai conservé des blocages suite à mon deuil, tout au long de la relation... mais je m'en contentais on va dire
Merci pour tes mots
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