Merci à vous trois, vos paroles me vont droit au coeur 

  Je viens de corriger mes fautes de frappe de mon dernier post, je n'avais pas eu le temps de me relire  ça m'a fait du bien de m'ouvrir ici de ce que j'ai ressentis durant cette journée si particulière, c'est bien tombé que j'ai pus le faire tout de suite  comme tout le reste, on peux dire que ça s'est passé comme ça devait être. Le lendemain aussi je suppose...l'enterrement aussi a été trés simple-le plus important ayant été cette cérémonie émouvante et réconfortante de la veille-mais c'étaitde la plus grande importance aussi que je sois présente.

  Le Jardin du Souvenir étant situé juste à côté de l'endroit où est maintenant inhumée la dépouille de mon père (ce sont deux partie d'un même cimetière) , je suis allée m'y recueillir; j'ètais arrivée volontairement très en avance, pour être sûre de ne pas être en retard. Je me suis recueillie à l'endroit où les cendres de mon bien-aimé Jean-Philippe ont été dispersées, je lui ai longuement parlé. Je ressentais une douce nostalgie, mais aussi beaucoup de sérénité. J'ai eu le sentiment  qu'il ètait présent lui aussi, et me soutenait dans cette nouvelle èpreuve.  Ce premier hommage m'a donné du courage pour l'enterrement.

  Contrairement à mes craintes, je n'avais pas èprouvé, la veille, d'émotion trop douloureuse devant le cercueil de mon papa, grâce à l'atmosphère de spiritualité et des paroles si appropriées de ce diacre (même si nous ne partageons pas exactement les mêmes croyances, nous sommes d'accord sur l'essentiel, et cette rencontre a encore renforcé mes propres convictions). Au cimetière, mes émotions face à ce cercueil étaient plus tristes, mais j'ai repensé à la cérémonie précédente, à la paix ressentie, et ça m'a aidée.  Et aussi le fait que l'un des hommes qui s'occuppait de l'enterrement m'a dit qu'il connaissait un peu mon père, et que sa compagne, aide-soignante, s'était occuppé de lui les derniers mois de sa vie  je sais qu'il ètait bien entouré et avait tout le confort possible, ça aussi c'est un réconfort.

  Durant l'enterrement, et ègalement juste après, alors que je me dirigeais vers la sortie du cimetière, j'ai parlé à mon papa, je lui ai dis des choses que je n'avais pas eu l'occasion de dire de son vivant, et bien sûr des paroles affectueuses. Comme la veille, j'ai eu la sensation qu'il m'entendait, qu'il ètait tout proche, que nos âmes se comprenaient. C'est l'un des souvenirs que je garderai précieusement en mémoire, d'autant plus que j'ai vraiment eu le sentiment qu'il ètait en paix.

  J'aurais pus passer par l'autre cimetière en rentrant chez moi, mais après ces deux premiers hommages, ç'aurait été trop de charge émotionnelle pour une seule journée; je passerai honorer la mémoire de Pierre pour la Toussaint. J'ai déjà acheté de belles fleurs pour dèposer à ces trois lieux, pour Pierre, Jean-Philippe et maintenant mon papa...un deuil de plus aux alentours de cette date  c'est, je le sais, une période de l'année extrêmement émouvante pour chacun d'entre nous. Je vous souhaite beaucoup de courage à tous   

  Je vous embrasse 

 

 

 

Salut Philippe
Merci pour ton petit message.
Courage à toi
Amicalement
Kps

Encore un coup dur
Un angioscanner pulmonaire qui donne de très mauvais résultats
La cause de mon grand essoufflement
Je déteste le deuil
J en veux à ma femme quine voulait pas se faire soigner et qui nous a fait subir cette connerie de suicide

Philippe

10 ANS dans qq jours
Elisabeth t'a rejoint, Ricos aussi.....ton enfance
Love

bonsoir a tous voila j ai amené mes enfants passer une belle journée en sortir et ce soir en rentrant j ai un l oncle a mon mari qui est venu et sa femme n a pas pu s empecher d etre medisante que je ne pleurait pas assez, que je sortait trop, que j etais pas normal, que ca se faisait pas, ... j ai essayé d expliquer que je faisais ca pour tenir pour mes enfants pour se battre car je suis pas du genre à me morfondre et qu 'il faut que je sois forte que la vie m'avait tellement endurcie de par mon passé que moi meme je le vivais comme ca et que c etait le mieux je pensais. Mais quand ils sont partis je me suis senti tellement mal surtout qu'ils habitent a coté racontent savent quand je suis pas là si quelqu un vient c est horrible je me sens tellement mal que j ai envie de couper les ponts avec toute sa famille qui me jugent alors q ils ne sont pas là pour m aider.