Bonsoir,
Merci à tous pour vos réponses, votre compréhension et les ressources.
J en ai déjà consulté quelques unes dont le livre de Rachel Gallerme et celui de Christophe Faure.
Je les ai toujours à portée de main, ils aident à donner de l espoir même si je sais que la replète ne fait que commencer.
Un jour , ça soufflera moins fort.
J ai perdu mon mari en 2000, j avais alors 35 ans et 3 petites puces qui m ont aide à avancer, on a réussi à reconstruire un foyer où l on riait.
Puis en 2014 j ai rencontré mon compagnon, 10 années de bonheur , moi qui n y croyait plus, j ai réappris à aimer, nous aimions tous les deux la vie, les petits bonheurs quotidiens que nous savions savourer, juste des moments simples mais qui aujourd’hui hui qu il est parti me manquent tellement tellement.
Ce qui est plus difficile c est de ne pouvoir partager, partager un rire, une émotion, une idée , un café, un repas bref c est à chaque instant que le manque est là
Bien sûr il y a la famille, les amis, les enfants, les petits enfants mais ils étaient là aussi avant, ils m aident à survivre mais ne peuvent effacer le manque qui engendre cette souffrance.
Nous courrions tous les deux , et aujourd’hui hui je suis allée courir ( doucement !) , ce mémento est presque magique car il me donne de la ou il est là force de me dépasser, il est avec moi.
C est le retour qu est plus difficile.
Il faut changer tous les repères.
Vous lire m à fait un bien fou et enfin je me sens entendue et comprise.
Douces pensées à tous