Bonjour, comme d'habitude, je trouve toujours du réconfort ici, merci.
Oui, je suis entourée de personnes qui m'aiment, ma famille, mais je ne leur parle pas de mon ressenti, ils ont tous, mes enfants, des soucis assez importants, alors je ne rajoute pas les miens. Je suis sous antidépresseur, mais ce n'est pas une pilule qui va enlever mon chagrin, les psy ne le comprennent pas apparemment, alors je prends leur pilule, ça leur fait plaisir. Et moi j'ai toujours cette boule de chagrin qui revient régulièrement me compresser le cœur la poitrine. J'approche les 84 mois sans lui, même si je sais qu'il est près de moi, de nous, mais ses bras qui m'entourent, ses baisers, nos coups de gueule, tout me manque. Je ne comprends même pas comment j'arrive à survivre. Je sais que je vais encore et encore remonter et redescendre ces foutues montagnes, souvent je ne dis rien, même ici, mais dès fois c'est trop dur.
Ça fait du bien de vous lire toutes et tous, je vous lis mais je n'arrive pas à vous répondre. J'en.suis désolée, j'espère que vous me comprendrez.
Merci à vous pour votre réconfort et la force que vous m'apportez.
Nicole