Auteur Sujet: Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !  (Lu 1259980 fois)

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #885 le: 22 novembre 2016 à 19:06:40 »
Federico, Hélas parfois ma fille qi est architecte se referme et se met à boire, là elle n'est plus dans  calme, tranquillité, sérénité, humilité, respect, tolérance, art, solidarité, confiance, amitié et amour seront les maîtres-mots ! comme tu me le préconise, elle devient dure, alors que j'aurais tant besoin de tendresse. J'ne arrive à me demander si ce n'était pas moi la mauvaise. je me retrouve en pleine confusion. La solitude est bien difficile à vivre mon Ange ma manque tan, elle savait me donner le oral, mais elle s'est épuisée dans une famille qui ne fonctionnait pas.. Pourtant il faut lever la tête, faire comme si de rien n'était. Bon courage à vous tous, la vie ne nous a pas fait de cadeau en emportant nos enfants chéris

Anne laure

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #886 le: 23 novembre 2016 à 07:31:27 »
Bonjour à vous tous                                                   Aujourd'hui je ne travaille pas .. Ç est jour des enfants .. Ça me fait souriret souffrir .. A un repas dominical tu voulais m acheter un chien parceque je serai tellement triste quand tu partiras de la maison .. Je T avais répondu que non surtout pas je voyagerai j irai  courir sur tous les continents ..... Comme tu dois te moquer de moi mon Paul .. J ai un chien .. J ai cédé à Andrea  ..un petit chien est la quand elle rentre du lycée  .. Voilà aujourd'hui Ç est jour de la promenade du chien   

Anne laure

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #887 le: 23 novembre 2016 à 15:29:51 »
Décidément j ai vraiment trop de temps et pas L Envie .. Je creve  de ton absence mon Paul et je ne sais plus quoi faire de ma vie .. Il faut que je me remette en mouvement mais il y a toujours ce aquoibon puisqu il n y a pas d espoir de sortie en conditionnel .. J ai pris perpétte dans la douleur .. Je vais mal il faut que je me bouge .. Putain de vie

Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #888 le: 24 novembre 2016 à 03:17:43 »

Ce soir... vers chez moi... aux alentours de 21h-22h... un très violent orage a éclaté avec  d'impressionnants coups de tonnerre...

Une fois passé... je me suis promené pendant une bonne heure... seul... dans le parc derrière la mairie...
calme, douceur et tiédeur humide, sérénité... et volupté...

************

volupté \vɔ.lyp.te\ féminin

*** Plaisir des sens.

        Comme vous êtes loin, paradis parfumé,
        Où sous un clair azur tout n’est qu’amour et joie,
        Où tout ce que l’on aime est digne d’être aimé,
        Où dans la volupté pure le cœur se noie !
        Comme vous êtes loin, paradis parfumé! — (Charles Baudelaire, Moesta et errabunda)

   
        Il arrive très fréquemment que la femme est beaucoup plus lente que l'homme à parvenir au paroxysme de la volupté. Dans cet amoureux voyage au pays du Tendre, il n'avancent point de compagnie, et l'amant touche déjà au port alors que son amie apparait tout juste à l'horizon. — (Jean Marestan, L'Éducation Sexuelle, Éditions de la Guerre Sociale, 1910)
       
        […] François se dévoyait auprès des filles publiques, […]. On dit que ces professionnelles ont des charmes secrets, des recettes magiques pour exaspérer la volupté de leurs clients et leur procurer des extases sans pareilles […]. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954)

*** Plaisirs de l’âme.

        Quand il se dresse face à quelque « vieille écorce », chêne, frêne, ou hêtre, […] Arsène André éprouve une virile volupté. Sa chair se durcit, son col se gonfle, le sang lui afflue aux tempes à coups précipités — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)

        Les savants trouvent de la volupté dans la découverte des vérités.

        Les riches sont bien généreux avec les intellectuels : ils nous laissent les joies de l'étude, l'honneur du travail, la sainte volupté du devoir accompli; ils ne gardent pour eux que les plaisirs de second ordre, tels que caviar, salmis de perdrix, Rolls-Royce, champagne et chauffage central au sein de la dangereuse oisiveté!. — (Marcel Pagnol, Topaze, IV, 4, 1928)

                                                                                                                                 ********************************

Charles Baudelaire est un poète français. Né à Paris le 9 avril 1821, il meurt dans la même ville le 31 août 1867 (à 46 ans). « Dante d'une époque déchue » selon le mot de Barbey d'Aurevilly, « tourné vers le classicisme, nourri de romantisme », à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil certes bref au regard de l'œuvre de son contemporain Victor Hugo (Baudelaire s'ouvrit à son éditeur de sa crainte que son volume ne ressemblât trop à une plaquette…), mais qu'il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs du mal.

Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité. Comme le suggère le titre de son recueil, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur fugitif et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), mais aussi entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère ») et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares). Outre des poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda), l'horreur (Une charogne) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage) à travers l'exotisme.
- Espérer, c'est avoir la force de sourire avec un cœur qui ne cesse de pleurer
- Qui pourrait me dire maintenant ce que je dois dire, écrire, croire, penser ou faire ? Personne ! je suis LIBRE !

Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #889 le: 24 novembre 2016 à 03:43:40 »


Raphaël... tu vas m'entrainer jusqu'au bout de la nuit... j'ai retrouvé tes souvenirs... le son grave de ta voix... ton sourire joueur, taquineur avec ton frère... ton rire spontané, éclatant de bonheur... ta délicatesse... ta sensibilité... ta générosité... ta grandeur... ton idéal, ton amitié, ta justice....

Mon fils, mon chéri, mon Amour...

Je suis triste... je pleure !

Papa
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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #890 le: 24 novembre 2016 à 05:38:18 »
Je clos la fin de nuit ,  je t'accompagne un peu sur le chemin des souvenirs , j'espère que le sommeil t'a emmener pour un peu de repos avant le matin 
Mon cœur et mes yeux sont secs , anesthésiés par le chagrin, un terrain aride en friche....

Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #891 le: 24 novembre 2016 à 05:59:44 »


Charles Baudelaire : Moesta et errabunda

Moesta et errabunda

Spleen et Idéal, LXII

Dis-moi ton coeur parfois s’envole-t-il, Agathe,
Loin du noir océan de l’immonde cité
Vers un autre océan où la splendeur éclate,
Bleu, clair, profond, ainsi que la virginité ?
Dis-moi, ton coeur parfois s’envole-t-il, Agathe ?

La mer la vaste mer, console nos labeurs !
Quel démon a doté la mer, rauque chanteuse
Qu’accompagne l’immense orgue des vents grondeurs,
De cette fonction sublime de berceuse ?
La mer, la vaste mer, console nos labeurs !

Emporte-moi wagon ! enlève-moi, frégate !
Loin ! loin ! ici la boue est faite de nos pleurs !
- Est-il vrai que parfois le triste coeur d’Agathe
Dise : Loin des remords, des crimes, des douleurs,
Emporte-moi, wagon, enlève-moi, frégate ?

Comme vous êtes loin, paradis parfumé,
Où sous un clair azur tout n’est qu’amour et joie,
Où tout ce que l’on aime est digne d’être aimé,
Où dans la volupté pure le coeur se noie !
Comme vous êtes loin, paradis parfumé !
Mais le vert paradis des amours enfantines,

Les courses, les chansons, les baisers, les bouquets,
Les violons vibrant derrière les collines,
Avec les brocs de vin, le soir, dans les bosquets,
- Mais le vert paradis des amours enfantines,

L’innocent paradis, plein de plaisirs furtifs,
Est-il déjà plus loin que l’Inde et que la Chine ?
Peut-on le rappeler avec des cris plaintifs,
Et l’animer encor d’une voix argentine,
L’innocent paradis plein de plaisirs furtifs ?

Commentaire

Moesta et Errabunda (Triste et Vagabonde) est un des derniers poèmes de Spleen et Idéal où sont évoquées des images heureuses. Mais le bonheur en question appartient cependant au passé, et est l’objet d’une remémoration. Celle d’un autre espace et d’un autre temps que le rêve et l’écriture poétique seuls ont encore chance de reconstruire fugitivement.

Similitude entre l’océan et la cité ; l’océan et l’enfance

Les liens tissés dans le poème entre l’océan et la cité, l’océan et l’enfance font de chaque groupe l’image inversée de l’autre. Il est intéressant de chercher comment est produit par le texte le sentiment d’une équivalence : (océan=cité) (océan=enfance) et d’une opposition : (océan=cité)/(océan=enfance)

Les deux "océans" sont distincts : l’un est le "noir océan" : il est l’image de la cité ; l’autre océan est le vrai, celui "dont la splendeur éclate".

L’équivalence entre le "noir océan" et "la cité" est affirmée par la métaphore : "le noir océan de l’immonde cité". L’équivalence entre l’océan et l’enfance est suggérée par l’emploi de mots appartenant au vocabulaire de l’enfance pour parler de l’océan : virginité, le cœur se noie, console, grondeurs, chanteuse, berceuse ; inversement des mots appartenant au lexique de l’océan sont utilisés pour parler de l’enfance : bleu, clair, profond, vert... L’homophonie "mer" "mère" sous-tend (inconsciemment) l’assimilation de l’océan à l’enfance : on peut ressentir, en effet, comme le même appel vers une présence maternelle, les termes "console", "berceuse", "chanteuse" (qui s’appliquent à l’océan) et les "cris plaintifs", la "voix argentine" (qui concernent l’enfance).

Ces relations d’équivalence reposent sur une réaction affective analogue : le noir océan qu’est la cité est rejeté dans un même sentiment de dégoût et de lassitude. L’océan et l’enfance sont unis dans un même désir : quitter la ville pour l’océan ("Emporte-moi, wagon ! enlève-moi, frégate ! ") afin de retrouver l’enfance ou... plus loin que l’enfance, le paradis perdu...

L’équivalence entre l’océan et l’enfance ne résulte pas d’une comparaison établissant des éléments de ressemblance rationnellement formulables. Elle ne résulte ni d’un raisonnement logique, ni même, à proprement parler, d’un raisonnement analogique. Elle résulte du fait que tous deux sont l’objet d’un même désir : le désir d’être loin, ailleurs, de quitter "l’ici et maintenant" pour le bonheur et la sécurité d’autrefois. C’est une équivalence affective, soutenue par l’équivalence des signifiants (mer/mère) qui se profile à l’arrière-plan. Cette interprétation semble confirmée par le soin de distinguer par "rauque" le chant de la mer, implicitement comparé à celui de la mère berçant son enfant, mais parfois le grondant. Mais ils restent unis dans un même désir : celui d’être loin, dans l’espace et dans le temps.


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Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #892 le: 24 novembre 2016 à 07:59:45 »
Bonjour à toutes, à tous...

Je vous prie de bien vouloir me pardonner... ce matin, je vous réveille avec Baudelaire et ... volupté !

... J'ai oublié la tendresse !

Excellente journée à vous...

Bien Amicalement.
Federico
« Modifié: 24 novembre 2016 à 08:09:48 par Federico »
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Hors ligne Federico

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #893 le: 25 novembre 2016 à 00:52:33 »

Je vais OSER le faire : aujourd'hui vendredi 25 novembre... eh bien ! c'est mon anniversaire !

Je souhaite donc à Federico (c'est mon autre) un très JOYEUX ANNIVERSAIRE... et selon la formule con...sacrée que cette journée me soit douce ... remplie de joies... et ... ainsi... le meilleur pour moi ! Youpie !

Ce vendredi soir... 25 novembre, j'ai déjà réservé une belle table ronde pour... mon anniversaire ... pour 3 personnes (mon frère, mon fils A. et... moi) dans un restaurant gastronomique , non loin de mon appartement ( on ne sait jamais... si c'était mon dernier anniversaire ... qu'ils aient au moins un bon souvenir de... cette soirée !) et puis... c'est tout... j'espère qu'on va passer une belle soirée tout les 3 et je ne doute pas un seul instant... nous aurons une discrète  pensée pour Raphaël !
Champagne à l'appartement + repas au restaurant !

Samedi soir, repas d'anniversaire... ça sera chez mon meilleur ami... j'ai très gentiment été poussé à accepter l'invitation... merci mon Pascal !
Son métier : chef de cuisine !
Il veut me faire plaisir ... c'est ça l'Amitié !

Dimanche : repos ( et non repas)le matin et longue promenade à travers la Belle Nature l'après midi pour éliminer les calories et digérer une nouvelle année... et pleurer peut être tout seul tout en continuant de marcher, d'avancer sur ce long et difficile chemin de la vie qui est aussi celui du deuil ...

A bientôt, j'espère...

J'ai osé... je ne sais pas si j'ai bien fait... c'est peut être quand même un peu prétentieux ? Non !... c'est l'insoutenable légèreté de l'être... son insouciance !

Bien Solidairement.
Federico

JOYEUX ANNIVERSAIRE FEDERICO
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Hors ligne Twist

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #894 le: 25 novembre 2016 à 06:23:57 »


Pensées pour toi Fédérico.
Je t'embrasse
Qu’il est doux d’entendre ton nom
Un souvenir de toi, une pensée pour toi.
Et, bien que le temps passe,
Nul ne s’habitue à ton absence.
Tels des drogués, en sevrage forcé,
Incapables de surmonter cette épreuve,
Nous sommes en manque de toi.

Hors ligne Nora

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #895 le: 25 novembre 2016 à 06:58:48 »
Je te souhaite ton anniversaire, Federico,

Que cette journée soit douce, pleine de marques d'amitié, d'affection.

Je t'embrasse

Nora
 

Hors ligne loma

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #896 le: 25 novembre 2016 à 07:55:32 »
Je te souhaite un pétillant anniversaire Frederico,

en soufflant sur tes bougies  j'espère que tu verras partir en fumée cette dernière année passée, trinque à l'amitié et à l'affection

et je te souhaite aussi un bon dimanche de repos et de récupération

tendrement
loma
"si un jour je meurs et qu'on m'ouvre le coeur, on pourra lire en lettres d'or ... je t'aime encore"  William Shakespeare

Anne laure

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #897 le: 25 novembre 2016 à 08:12:32 »
Tu sais frederico  chaque année et spéciale et précieuse on ne peux la vivre q une fois       Ne regrette jamais de vieillir Ç est un privilège qui n est pas donné à tous ..profite de ton fils et de ton frere .. Joyeux anniversaire

Hors ligne souci

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #898 le: 25 novembre 2016 à 10:42:04 »

    Bon anniversaire en famille de fidèles, cher Federico.
    Souci-pouet-poète, la renversée tata de Kalahan.

Hors ligne Monangesaveriu

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Re : Mon Petit Monastère... mon paradis blanc !
« Réponse #899 le: 25 novembre 2016 à 10:53:30 »
Douce journée d anniversaire pour vous Federico, en famille et avec vos amis. Raphaël sera avec vous tous dans vos pensées !