Souci, Martine...
Des pierres précieuses, toutes fêlées, toutes craquelées, qui laissent passer une jolie lumière... La souffrance opaque creuse des trous dans nos carapaces et nos carcasses, comme des balles de plomb... Et nous voila crevassés, transpercés, craquelés... mais "toujours vivants, toujours debout" comme dirait Monsieur Sechan.
C'est très difficile, de "ne pas y arriver".
A, ça... c'est bien vrai... Mais quelqu'un ici m'a un jour suggéré qu'il fallait qu'on apprenne à se foutre la paix! Et je suis bien d'accord.
Puissions nous nous foutre la paix, qu'on ait bonne mine, qu'on tire la tronche, qu'on soit souriant, larmoyant, grincheux... Foutons nous juste la paix.
Je t'embrasse (et je veux bien m'incruster avec toi dans le sous-marin de Kompong Speu pour un riz au lait, si elle veut bien
!!!)