La vie simple a bien désormais ce parfum, ce goût de "jamais plus" acide et amer ... empoisonné ...
Vie dissociée, étrangère, trafficotée d'aujourd'hui ...
A cheval sur l'épineuse dorsale des paradoxes ... Aïe ...
Nous savons "le côté sombre" ... ce foutu savon zippant, glissant, casse-gueulant.
Quel cirque ... quel effort pour vivre encore "des choses" ...
Cette apparence d' "il fait bon vivre", tout-terrain de belgium-trotter, que je transporte avec ma petite frimousse de bouffonne ... mes joues roses de fille des bois, mon petit air de rien du tout ... et la mémoire que je traîne, si précise ... ce scalpel qui cisaille mon cœur, mon ventre, ma tête ...
Comme les fins escrimeurs, je feinte, je bondis, je fends, je surprends, me concentre, focalise, tente de marquer des points sur la tragédie.
Ce matin, ce bon vieux St Nicolas himself m'avait apporté une mandarine en massepain ... au goût de souvenirs immortels ... dans la maison de notre enfance ...
Merci mes amis mexicains, pour la convivialité et le partage de nos regards défaits, de nos mets parfaits, de nos bonheurs contrefaits.
Controns, amis, controns ...
Laissons passer ces foutues festivités et illuminations factices ...
" Éteins la lumière
Montre-moi ton côté sombre
Regarde les ombres qui errent ..." chanson: A. Bauer.
https://www.youtube.com/watch?v=KEjJG6sWDtU