S'il y a des jours pires que d'autres, c'est qu'il y en a d'autres "moins pires"...
ce n'est pas d'un grand réconfort, mais pouvoir se dire ça peux aider un peu. Un jour, les jours "moins pires" sont de moins en moins espacés, moins éphémères...c'est un processus très long, on ne peux pas prévoir à l'avance, on ne peux que ressentir, vivre les choses comme elles se présentent, sans précipiter ni bloquer leur èvolution. Comme dit Qiguan, pendant un bon bout de temps c'est non seulement jour après jour, mais même heure après heure, minute après minute les premiers temps. Survivre, malgrès tout...il faut croire qu'on peux endurer bien plus qu'on l'aurait jamais cru-et on se serait bien passé de le savoir
les instants de répit, même tout relatifs, permettent de reprendre son souffle.
Je te souhaite une petit accalmie.