Merci à vous trois, Thierry, Mariemo et Qiguan
vous n'avez pas idée à quel point vos paroles me touchent
et comme je me sens soutenue, comprise, et encouragée-ça n'arrive pas si souvent que ça au quotidien.
Oui, je peux ressentir votre affection, et soyez assurés qu'elle est rèciproque. Ca me fait du bien de m'exprimer ici, et si ce que j'ècris aide d'autres personnes, j'en suis heureuse
A propos de ce que je disais à propos de l'amour, j'aurais quelque chose à ajouter. Je me suis souvent dit que toutes les histoires d'amour étaient des tragédies., dans le sens où tous les couples sont séparés un jour ou l'autre-si ce n'est pas la vie qui s'en charge, ce sera la mort, puisqu'il est très improbable que les deux personnes meurent précisément à la même seconde...bon, techniquement vrai,, mais il n'y a pas que ça, loin de là: ça ne doit pas nous empêcher d'aimer; ce qui compte le plus, ce sont les merveilleux moments partagés avec l'autre. Oui, il y a le revers de la médaille, mais le bon côté de cette même médaille mérite toujours d'être vécu. Et, quand l'autre n'est plus là, personne ne peux nous enlever ce que nous avons vécu, ni nous prendre de si beaux souvenirs.
Mariemo, je pense que tu as raison: je me sens plus de force qu'à un moment donné. Je sais par expèrience, que mon hypersensibilité fait maintenant partie de moi, et, même si je m'en passerais bien parfois
elle a aussi ses aventages, assez nombreux pour contrebalancer à peu près le reste. Et oui, si je devais un jour affronter un nouveau deuil-on ne sais jamais de quoi demain est fait-je sais que j'aurais plus de force pour le supporter, ce qui n'enlèverais rien à la souffrance des étapes, bien sûr. J'espère ne jamais avoir à revivre ça, mais il ne faut pas exclure cette possibilité-j'ai aussi suffisamment de force à présent pour le dire sincèrement Je ne voulais surtout pas l'envisager avec Pierre ni Jean-Philippe, et pourtant...comme je dis toujours, il peux arriver n'importe quoi à n'importe qui. Si on s'empêchait d'aimer pour èviter d'èventuelles souffrances, la vie serait bien triste. On ne connaîtrait pas les douleurs du deuil, mais on vivrait dans une neutralité confortable, on n'èprouverait jamais ces belles émotions.
Je crois que j'ai tout dis...encore une fois, des pensées me viennent, comme ça, naturellement, et je les met noir sur blanc, sur le vif, parce-que c'est la façon la plus spomtanée de s'exprimer
Affectueuse pensées à vous