Bonsoir Stradi,
Nous agissons et nous ressentons tou(te)s de la même façon.
La suractivité comme dérivatif, ce manque de tous les instants qui nous étreint et ne nous lâche jamais. Tu ne fuis pas, tu cherche un peu de moins pire pour pouvoir tenir le coup
Je te souhaite un peu de moins pire durant ces quelques jours de "vacances", que cette trêve dans ton cauchemar te donne assez de force pour continuer à te battre vaillamment, comme tu le fais au quotidien. Il doit, de là-haut, être fier de toi.
Je t'envoie plein de pensées affectueuses, je t'embrasse, ne lâche rien.
Marie