Je voudrais te faire un petit signe d'amical soutien, Fitche.
Et te dire que tu n'es pas seule, que tu peux échanger avec nous, qui comprenons ta peine.
Il faut me pardonner, car je vais te laisser déjà : la fatigue me ferme les yeux.
Mais je reviendrai, très vite, te lire, et te répondre.
Je te souhaite une nuit sereine, et sans larme.
A très bientôt, n'est-ce pas ?