Pscar, malome, je suis comme vous. Mon amoureux m'a permis pendant plus de vingt ans d'échapper à cette solitude qui était mon lot depuis toujours sans doute, même si j'ai eu une vie, y compris amoureuse, avant lui. Même à des kilomètres, il n'était jamais loin grâce au téléphone, même à des "vraies" lettres, avant que ne déferlent les mails et les textos. Nous étions toujours et partout là l'un pour l'autre, comme vous l'avez été avec vos amours. Les derniers temps, avec sa maladie, nous ne nous quittions plus. C'était parfois très dur, mais l'amour déplace des montagnes. Il faut tout réapprendre, presque au soir de sa vie, c'est tellement difficile !
malome, les passages à vide sont inévitables, malheureusement. Nous passons tous par là. Se dire que ce sont des passages, même longs, même parfois pires que les précédents, croire en des jours meilleurs qui viendront et tenir, jour par jour, heure par heure. Il n'y a je crois pas d'autre solution.
Courage à toi, à vous, affectueusement