C'est vrai, Nicole, souvent je me dis que je pleure sur moi, égoïstement. Je m'apitoye sur mon sort, ma solitude, j'écoute mon chagrin et me laisse envahir.
Lui, maintenant, il est bien. Il est où d'ailleurs?
Suis-je bète, il est avec moi. Là. Juste là.
Mais il y a des matins, comme ce matin, où c'est plus dur que d'autres.