La fin de ce premier mois de l'année est à deux pas.
Un de plus!
Evidemment, il fait gris et froid.
Evidemment, se lever est difficile.
Mais avez-vous dormi?
Avez-vous BIEN dormi?
Pascale, pas trop stessée en voyant arriver le 1er février?
As-tu retrouvée toutes les recettes de Jacques?
Dom, ce matin est-il "chagrin" ou "entrain"?
Ghislaine, sur la pente remontante? Tout doucement? Vers le haut, plus calme?
Marie-Claire, pas de larmes au volant, trop dangereux. Une pause café, une grande inspiration, dans le temps on disait "un Mars et çà repart!".
Alors Yohann, cette nouvelle télévision? As-tu épuisé tous les programmes ou bien sont-ce les programmes qui t'ont épuisé?
Oui Sofi, moi aussi je pensais être la seule à avoir vécu une si belle histoire d'amour et maintenant , grace à ce forum, je sais que l'Amour, le vrai existe dans ce monde et c'est bon. Tant qu'il y aura des gens pour souffrir autant que nous, c'est que l'Amour existe et que l'homme n'est pas le monstre que l'on voit chaque jour dans les journaux. Mais chacune de nos histoires est unique aussi.
Racontes-nous la tienne, cela peut te faire du bien et à nous aussi. Parles-nous, nous serons avec toi. Utilises tes mots, tes phrases, laisses ton coeur te dicter sans crainte de jugement. Ici, il n'y a que des coeurs blessés qui aiment et pleurent, mais qui sont généreux.
Et toi Soizic, il faut que tu fasses une pause, que tu prennes soin de toi, que de toi et de ta puce. Comme dis Yohann, nous nous sommes battu, contre le monstre, fait semblant de croire aux miracles, affronté le pire, et tenté de tenir le plus longtemps possible. A un moment, il faut poser son chagrin et reprendre son souffle. L'envie de continuer à avancer reviendra après, plus tard, d'abord, une pause...Antoine te conseille de venir nous parler, nous avons tous besoin les uns des autres. Quand tu iras mieux, c'est toi qui nous soutiendras. On t'attend.
Bon, et toi Agnès, mieux aujourd'hui?
J'ai eu un "bon" mois de janvier. Cela fait 18 mois que Pierre est parti. Naïve que je suis, j'ai cru que "çà y est, je suis sortie!".
"Faute d'erreur", me revoilà à nager comme une brute à contre courrant.
L'essentiel, c'est de nager, faire la planche de temps en temps, et donner un bon coup de pied pour remonter si jamais on coule. Un jour, il parait que la tempête s'apaise, et même que parfois, on peut voir une île, une plage accueillante. Regarde Caroline et Ergé. Alors, nageons.
Et avec toi Suzy, comme exemple de courage et volonté, on a envie d'aller au bout du monde.
Bises à tous, et autres.
Marina