Ces jours feriés où je n'ai pas pus avoir accès au forum ont été mitigés, disons comme le temps: variables
j'en connais la raison: cette "amie" (maintenant je suis bien obligée d'ajouter les guillemets) n'a pas finit de me dèçevoir
je l'ai revue lundi, on s'est plus ou moins expliquées, je commençais à me sentir mieux (et j'en avais bien besoin après son attitude aux environs du 2 mai
), mais après coup, je me dis qu'elle n'est décidément pas l'amie que je croyais. Je m'en expliquerai.
Pour résumer ma relation amicale avec elle, c'est cette personne dont j'avais déjà parlé après mon retour sur ce forum. Elle-et son compagnon d'alors-m'avaient particulièrement soutenue après le décès de Pierre, avec ce mélange d'empathie et de pudeur que j'apprècie. Depuis, nous étions de bons amis tous les trois-amitié qui ne s'est pas démentie pendant des années. Ils ont beaucoup apprècié Jean-Philippe aussi, et ont été les premiers-avec Marie-France-à me soutenir dès les tous débuts de cette nouvelle èpreuve, ce dont je leur serai toujours reconnaissante. Quand ils venaient chez moi, ou que j'allais, de temps en temps, passer la soirée, voir même la nuit chez eux, c'était toujours des moments réconfortants. Et, quand j'ai commencé à aller mieux, et même après, cette amitié a continué à me faire du bien. Ils ont assisté à tous les bons et mauvais moments de ma vie, et moi des leurs, il y avait une vraie entraide.
Quand cette "amie" s'est sèparée de son compagnon, je l'ai, à mon tour, soutenue de mon mieux. Je passais souvent une nuit, voire même deux ou trois jours chez elle: elle se sentait si seule que je ne pouvais pas lui refuser. Et puis, dans un premier temps, elle était toujours aussi adorable avec moi: une belle amitié. Et puis, insensiblement, son comportement a commencé à changer. Elle avait des sautes d'humeur, elle se montrait même agressive par moment, au point que parfois, elle me faisait presque peur...mais je lui pardonnais toujours
A un moment donné, j'avais dècidé de coupé complètement les ponts, mais au bout de 10 jours, elle est venue me voire "pour qu'on s'explique"...j'ai vu combien elle regrettait son comportement; j'ai accepté ses excuses: elle n'avait pas pleinement conscience de son comportement de ces derniers mois-le pire est que je sais qu'elle a dit vrai, je la connais. Elle en pleurait, même.
Depuis, on était de nouveau très amies, comme autrefois. On s'entendait même mieux que jamais. Je me sentais plus à l'aise que jamais avec elle, et j'ètais très heureuse qu'on se soit réconciliées
La dernière fois où on a été vraiment proches, c'est quand elle est venue me voire un soir-il ètait déjà tard-pour me supplier de l'acceuillir chez moi quelques jours. En plus de sa séparation d'avec son ami, des évènements très douloureux étaient survenus dans sa vie. Elle ètait dans un état épouvantable, je ne l'avais jamais vue comme ça, je n'ai pas eu le coeur de lui fermer ma porte.
Je sais que ces trois jours passés chez moi lui ont fait du bien. Je l'ai réconfortée de mon mieux, j'ai ècouté ses confidences, et pour moi aussi, ces moments amicaux ont été bénéfiques sur le moment.
...c'est une semaine plus tard que je l'ai revue....complètement changée. Elle avait rencontré quelqu'un-tans mieux pour elle, encore une fois je suis contente qu'elle ai retrouvé le bonheur, aprés toutes ses èpreuves, que je sais réélles-et depuis ce jour, elle ne se conduit plus du tout comme l'amie que j'avais provisoirement retrouvée
elle n'a pas retrouvé tous ses mauvais comportements, mais quelques-uns d'entre eux tout de même, qu'elle en ai conscience ou non. Et à un moment particulièrement délicat pour moi: les environs de ce 2 mai, qui aurait pus mieux se dérouler sans son comportement dèplacé
La goutte d'eau qui a fait débordé le vase, c'est ce lundi quand, après qu'on se sois une nouvelle fois expliqué, elle m'a demandé de lui avancé un peu d'argent, en m'assurant qu'elle me le rendrait le lendemain, sa paye devant arrivé ce jour-là. Tu parle: depuis, plus de nouvelles à nouveau. Je sais qu'elle passera lundi prochain, mais mon argent, je ne sais pas pourquoi, je n'y compte pas trop
oh, ce n'est pas pour l'argent, je ne suis pas dans la misère non plus, mais c'est pour le principe. C'est cette belle amitié que je croyais avoir retrouvée, et qui varie manifestement selon ses besoins à elle qui me peine.
Je devrais peut-être lui dire poliment mais fermement que si je ne peux plus avoir confiance en elle, j'ai toujours la possibilité de ne plus lui ouvrir ma porte, plus du tout
Marie-France, comme tu me manque...