A bon entendeur salut !
Dan on attend !
Allons, toi que je veux concerner,
Viens avec nous te gausser
Puisque chaque jour tu nous lis
Pour repaitre ta curiosité déplacée
Ton ennui, tes jours gris,
N’oublie pas de sourire à l’employée
De ton hypermarché
Il se peut que ça te fasse du bien
De sourire à quelqu un le matin
Il y a des gens que la souffrance aigrit
Il y en a d’autres que ça rend humains
Qu il est triste d’agresser les autres de ton incompréhension,
De tes frustrations,
Ton absence d’empathie et de compassion
N oublies pas que sur ton PC
Il existe une petite souris
Qui, d’un click, te protège de ce qui te choque
Mais aussi,
Coquine, je l’ai vu !
Efface tes interventions équivoques
Y a-t-il au fond de toi tant d’hypocrisie
Tant de honte
Que tu ne puisses assumer tes écrits ?
As-tu si peu d’esprit
Tant de souffrance
Pour afficher une telle intolérance ?
Comme je te plains
De n’avoir en ton seing
Aucun soleil, mais juste une douceur si fausse…
Aimer l’autre uniquement dans la douleur
Parce que le voir souffrir et pleurer repait ton pauvre cœur ?
Et que le voir sourire malgré sa souffrance
Que tu prends sans doute pour de l’indifférence,
te mène aussitôt au jugement, la vengeance et l’intolérance.
Il y a sur la Terre des clowns tristes, des clowns gais, des arlequins et des acteurs
Ils vivent sous les feux de la rampe et adoucissent nos pleurs
Il y a aussi dans l’ombre et la discrétion, des chercheurs
Qui eux, soignent ou guérissent nos maux
Ils sont bien différents et tous utiles cependant.
Faut il rejeter l’un, condamner l’autre pour autant ?
Ils sont à nos vies bien utiles, comme autant de pansements
Certains, ici , te confient leurs secrets
Aies pour ce cadeau un infini respect.
Et si le rire dans ta douleur te défait
Passe de ce fil ton chemin s’il te plait !
La douleur devrait nous rassembler en caresses
Et non en critiques et jugements qui blessent
Et qui laissent à présent
des gens qui souffrent dans l’isolement.