"Le cas Sneijder"

A podcaster sur France Inter dans "La Bande originale" (émission du 3.02.2017) avec une intervention du Dr Fauré :

Pierre Arditi est l'invité de la Bande Originale pour nous parler du "Cas Sneijder" d'après le roman de Jean-Paul Dubois et adapté sur la scène du théâtre de l'Atelier.

D'après le roman de Jean-Paul DUBOIS (Editions de l'Olivier / Editions Points)

Adaptation et mise en scène de Didier BEZACE

Avec Pierre ARDITI, Charles-Roger BOUR, Sylvie DEBRUN, Morgane FOURCAULT et Thierry GIBAULT

Victime d’un terrible accident d’ascenseur dont il est le seul survivant et au cours duquel il a perdu sa fille, Paul Sneijder sort du coma transformé. Il se détache complètement de la société très matérialiste qui l’entoure ainsi que de son épouse et de leurs deux fils qui s’épanouissent dans cette société du culte de l’hyperperformance. Il prend un job de promeneur de chiens qui lui vaut le mépris de sa famille. Enfin c’est son refus de porter plainte contre l’ascensoriste responsable de son accident qui scellera son sort. Cette décision totalement incomprise de ses proches et de la société, le fera interner. Il devient « le cas Sneijder ».

"Le Cas Sneijder" est lauréat du 1er Prix Fondation Jacques Toja pour le théâtre.

Christophe Fauré, psychiatre et psychothérapeute spécialisé dans l’accompagnement des Ruptures de Vie, viendra nous parler du deuil impossible.

    Cela me rappelle un film que j'ai vu, voilà un an ou deux, et que j'ai suivi avec beaucoup d'émotion, en grande sympathie avec le personnage principal ...
    Malheureusement, il ne me revient que le visage de l'acteur et pas son nom ...
    C'est l'histoire d'un papa en deuil depuis plusieurs années et qui vit pleinement l'ardeur de son deuil impossible.
    La maman s'est séparée de lui pour "refaire sa vie".
    Elle a eu, avec un autre homme, un autre enfant ... le film se déroule au moment où cet enfant a atteint, comme son demi-frère décédé, l'âge de six ans ...
    Alors le papa endeuillé tente d'approcher l'enfant, qui lui rappelle son fils mort ... en cachette de la mère, qui voit d'un mauvais œil cet attachement "de remplacement" ...
    Un jour, les parents apprennent que le garçon entretient une relation amicale avec le papa du fils perdu, et mettent un terme brutalement à la renaissance jugée malsaine, de cet homme désespéré.
    J'ai pleuré pour lui.
   

    OUI, Faïk, dis, ton dernier neurone est un Vaillant !
    Chance qu'il pète pas comme la chaudière d'Orfila !
    C'est ce film-là ...
    Pour rompus aux plongées en apnée, non, c'est pas "le grand bleu", c'est ce film-ci ...