Je partage vos douleurs et vos révolte, moi qui ai perdu ma fille dans des circonstances douloureuses , comme nous tous d'ailleurs, il n'est pas de circonstances plus ou moins graves.
La mort de ce qu'on aime très fort est incompréhensible, injuste, déstructurante, comment continuer, moi personnellement, je suis croyant, peu pratiquante, et bien je fais la tête à Dieu, je ne fais plus de prières, je n'ai pas décidé de ne plus croire, mais je fais une pause, je suis trop révoltée,.
Perdre trois personnes qui comptent tant dans la vie, c'est trop pour un seul être, je comprends votre colère et je compatis.
Je vous souhaite bon courage, bien que ce soit plus facile à souhaiter qu'a pratiquer, j'en fais l'expérience.
Bien amicalement.