Cher Ludo,
Oui, une part de la souffrance s'en va dans ce qu'on écrit, oui, c'est bizarre...
Moi, la souffrance revient comme marée, furieuse, et j'écris, ça calme un rien, et vrouf! encore une bonne grosse vague sauvage, et j'te la ramasse de plein fouet, chp' sssssssscccccccchhhhhhhhhh..............
Tu fais bien de témoigner, "pour les autres", aussi...
mon ordi est lent, un vrai limaçon, alors j'ai pas encore vu ton livre, mais je réessaierai dans un moment où il sera un peu mieux luné (ça doit être du belge, cette expression!)
Bon courage à toi, quelle merde le suicide, pour ceux qui restent, hein !
Amicalement, Martine.