Je te HAIS suicide, je te HAIS.
Tu t'insinues au plus profond des êtres,
au mépris de la fragilité de tous,
au mépris de l'utilité des présences aimantes,
au mépris des belles choses,
pour envahir de dégoût ...
Je te connais, salopard, je te connais par cœur ...
Quelle vieille paire de compagnons sommes-nous, toi et moi, à nous contrarier sans cesse l'un et l'autre ...
Tu n'arrêtes pas de me souffler que tout est inutile, je n'arrête pas de te dire que j'ai envie de voir des sourires et des regards pleins de joie ...
Je me fous de tes conneries, tu piétines mes ouvrages ...
Le choix de ne pas souffrir je ne l'ai plus depuis que tu nous a volé Kalahan ... je ne peux plus me persuader que tu n'existes pas ...
Mais je fais le choix de t'embêter, ô oui, vieux connard, notre désaccord sera sans fin ...
Merci aux murs de Mexico d'exister, où écrirais-je cela, où ?
M.