Bonjour Marie51,
je ne pense pas pouvoir trouver une seule réponse à tes questions, mais je peux t'envoyer mon soutien.
bien chaleureusement

merci a vous
 mais je croit que je touche le fond
je remonterai pas  la douleur et trop forte
il me manque de trop  je ne peu vvre sans mon amour
 tu etait toute  ma vie  et te rejoindre et la seule pense de positif de te  rejoindre
pour l" eternité

Idées sombres ici aussi.... Pourquoi lui alors que nous commencions juste à recréer une famille comme nous l'avions toujours rêves ?  Pourquoi nos enfants doivent vivre ce drame ?  Pourquoi moi, veuve à 40 ans ?
Il me /nous manque tant....

Que ta soirée soit la.plus.paisible possible....

Marie,
je n'arrive à trouver les mots pour tenter de t'apporter un peu de douceur. Alors ces quelques lignes pour t'envoyer tendresse et chaleur.
affectueusement

Marie,
à mon tour de te demander aussi de nous donner de tes nouvelles
bien tendrement

Kty, quelques mots pour t'exprimer mon soutien face à ta douleur, ton chagrin. Je te souhaite une nuit de repos, une nuit de répit
chaleureusement

Courage Marie,
Moi aussi je me pose des questions et pourquoi.... et pourquoi......et pourquoi..... mais je n'ai aucune réponse
D'ailleurs existe t il des réponses à nos questions.
Des jours, je suis dans une terrible colère, je maudit tout et rien n'a de grâce à mes yeux, puis d'autres jours, je me souviens
Des jours passés ou nous étions 2, à nous Aimer . Mais en réalité rien ne peut adoucir ma peine.
Je voudrai simplement vous dire courage, il paraît qu'avec le temps et la patience, les maux s'atténuent, moi je vous avoue que je n'en suis pas encore là.
Cordialement, je vous envoie quelques touches de réconfort et d'entraide.

bonjour, je me permets de venir vous lire et d'intervenir car je suis dans la même souffrance intenable. Mon cher amour est parti brutalement le 18 novembre 2016... il est mort "de chagrin"... ce dernier provoqué par notre belle fille qui, du jour au lendemain, n'a plus permis que nous puissions voir nos petites filles... petite fille que nous avions pratiquement élevée pour l'une d'elle car dyspraxique et réclamant de nombreux soins... quand, aveuglé par sa bonté, il a fait donation de la maison héritée de ses parents... tout a basculé : maison mise immédiatement en vente, interdiction de voir la petite trop attachée à nous... perte de son fils manipulé... lui qui était notre roc a peu à peu sombré, déclarant des soucis cardiaques alors qu'il était sportif .... d'abord anesthésiée et comme tous ici, j'ai survécu ballottée entre l'incompréhension mais la nécessité d'agir administrativement... et puis, "j'atterris" et je ne peux toujours pas y croire... l'absence est de plus en plus insupportable... on me somme de rencontrer un psy qui me dit que je dois assumer trois deuils "l'homme de toute ma vie, mon fils et ma petite fille"... je suis à bout... bien sûr les personnes que je côtoie pensent que c'est en bonne voie... que le temps passe et qu'il amènera l'apaisement... mais j'ai envie de hurler : ils ne savent pas... non le printemps ne m'apaise pas mais me rend encore plus triste... nous ne pourrons plus jamais partager les petits bonheurs simples de la vie... tous nos projets sont partis avec lui... je ne pourrai jamais vivre sans lui et pour combien de temps ? ou dans quelles conditions je sais que je ne suis pas seule dans ma situation... à mon tour j'ai été hospitalisée car je me négligeais beaucoup... sans doute l'envie de le rejoindre même si mon jeune fils souffre aussi terriblement et me demande de m'accrocher à sa famille... trop souvent seule dans cette maison que je ne veux pas quitter car construite ensemble... je ne peux pas croire que le temps apaisera ma douleur... elle est trop présente, trop vive... jamais je ne pourrai me passer de lui, de son humour, de son soutien... comme Marie51, nous étions 24 h/24 ensemble et nous nous suffisions... tout me semble insurmontable. Merci de m'avoir lue et je vous souhaite très bon courage