Si seulement, Lisa, nos mots pouvaient t'aider à croire en des lendemains moins douloureux...
Moi non plus, je ne pensais pas pouvoir survivre.
J'ai cru, et même espéré, je l'avoue, que mon cœur, un peu fragile parait-il... que mon cœur, donc, ne résisterait pas.
Mais il a continué à battre. Sous le poids qui l'écrasait à me faire mal, à me couper le souffle, il battait !
Et voilà que tu lis mes pauvres petites lignes qui viennent te dire qu'après avoir traversé ce que tu affrontes aujourd'hui, je vais mieux.
Le temps des projets est revenu ; enfin.... disons que je commence à avoir des idées. De ces rêveries où la pensée s'égare dans les méandres de nouveaux possibles.
Des possibles à envisager en solo sans s'effondrer.
Je te souhaite une nuit sereine.
Et de belles éclaircies dans ton ciel trop sombre.