Mais non, Julie, tu n'es pas égoïste.
Tu as bien le droit de crier ici ton désespoir ; nous comprenons tellement ce que tu éprouves...
Et lorsque ton ciel sera moins sombre, alors tu viendras nous dire la douceur retrouvée d'une brise de printemps, les petites victoires sur le quotidien ; le temps venu du souvenir sans les larmes.
Que la nuit soit douce, et offre un vrai repos à chacun.