la crainte de l'accident soudain (de santé : AVC, infarctus; ou autre) ou la maladie foudroyante m'aurait entraînée à rapidement faire ce type d'acte pour sécurisé ce que je pouvais faire ... créer ainsi un cadre clair "sécurisant"
ne pas le faire m'aurait mis mal à l'aise
C'est exactement cela que je ressens! Comme je n'arrive pas à en parler à mon amie, je crois que je vais lui écrire. L'écriture m'est plus facile. Si elle accepte j'irai chez le notaire puis j'en ferai part à mes proches
J'ai dit à mon entourage ce que je souhaitais pour ma mort (au sujet du don d'organe, crémation, où disperser les cendres "si possible auprès de mon mari, si c'est trop compliqué et bien au près de n'importe quel arbre dans n'importe quelle forêt comme lui),
je vais aussi leur parler de la fin de vie, et du choix du cercueil, ce sera plus simple pour eux aussi, je n'y avais pas pensé. Quand tu parles de l'avoir concrétisé Qiguan, tu l'as fait auprès d'un notaire ? au près des pompes funèbres ?
Quand je parle d'aimer la vie, c'est que c'est ce que j'ai ressenti au fond de moi, comme une envie, une rage.. de vivre, de ne pas passer à côté, de ne pas avoir de regrets... après ce n'est pas simple pour autant, je vis avec le manque, le chagrin, la douleur...
merci Eric
Lololita, merci pour tes mots, ils me touchent