Comme tu as raison, Mononoké,
Cette étrange tristesse,
Comme une douce mélancolie.
Cette pluie sur les joues,
Sans la douleur dévastatrice.
La peine qui mouille encore les cils,
Sans les sanglots.
Le chagrin, en face à face.
Accueilli plus que subi.
Le manque,
L'absence,
Et le Mystère.
Le vent a appelé les nuages et chassé le soleil.
Le ciel est morose.
Bon, le vent, assez tourmenté les arbres,
Viens vite faire ton boulot,
Souffler sur les nuages, et ramener le soleil,
Sur le paysage, et sur nos cœurs.
Que votre journée soit douce.