Le message a sauté et est parti tout seul Je me sens forte, souvent, pas tout le temps, mais dans ce confinement je l'ai bien vu. Le simple fait de ne plus avoir peur, pour moi du moins, ça aide. Et je sais que cette force vient de lui.
Douces pensées

Bonjour Elisa,
Très touchante cette chanson.
Les liens qui nous tiennent en vie et nous retiennent...
Parfois au réveil, je pense à JJ Goldman : encore un matin, un matin pour rien.
Puis, le rythme quotidien prend son cours, petit déjeuner j'ai faim, le corps a besoin...  la douche, maquillage etc., mon estime de moi en a besoin, le travail, parce que il le faut ?!, préparer le déjeuner, faire des courses, arroser les fleurs pour la plupart là, grâce à mon chéri, lire et écrire sur le forum, ça me fait du bien, rester comme prostrée, en pensant à lui et sourire et pleurer parfois en même temps. Écouter la télé, pas regarder...
Je déambule sur ce chemin, j'avance mais je ne sais pas trop vers quoi.
Seule, très souvent... Mais reliée à lui tout au long de la journée et de la nuit.
L'heure de filer à la douche a sonné, je vais laver mon esprit et mettre mon masque de "Je vais bien, faut bien..."
Amitiés

C'est violent.
Le livret de famille, l'extrait d'acte de naissance avec la mention marginale obligatoire pour les démarches que l'on se doit de faire.
Il faut avoir les tripes bien accrochées... C'était horriblement dur tout ça. Tant que l'administration pensera document, process... au lieu de personnes, humains, nous ne parlerons pas le même langage.
Ça, c'est derrière moi maintenant....

Contente de lire ce message chog.

Elisa,
J'espère que je ne trompe pas de personne en répondant ici, je suis un peu perdu entre réponses et citations, je n'ai pas tout compris..
Je n'avais pas vu que tu avais réagi au lien pour la chanson « Tant de belles choses ».
Encore une chanson bouleversante, ce genre de chanson que l'on ne découvre réellement, hélas que confrontés à notre situation.
Aujourd'hui, j'étais dans les poèmes, dont celui de Robert Louis Stevenson, Ne restez pas..

Amicalement.
Thiemar.

J'existais à travers lui,
J'existais à ses yeux,
J'étais attendue,
J'étais entendue.
Outre la perte, le manque, le chagrin... Il est triste de penser que l'on ne manque réellement à personne.
Alors que la vie continue autour de moi, chacun sa petite vie... des projets de vie comme on dit, et moi, je suis hors course. Comme je les envie.
Le temps n'a plus grande importance maintenant, si ce n'est, qu'autant il m'éloigne de lui, il m'en rapproche.
Moral à zéro d'un seul coup.

Les autres, je m'en moque. Tout ce sye je sais c'est qu'il me manque.