Plus le temps passe et plus tu me manques, ce n'est plus du manque vraiment. C'est plus fort...
C'est un sevrage physique, sevrage de tendresse, de caresses, d'attentions, de tout ce que les sens peuvent ressentir de l'autre qui n'est plus là.
C'est vrai qu'il y a l'imagination, le monologue qu'on instaure et qu'on aimerait dialogue, une certitude ou une incertitude, les prière que l'on peut faire, reste avec moi, ne m'abandonne pas, je t'aime tant, tu me manques tellement, au secours mon amour, aide-moi, dis-moi,
comment je peux faire sans toi, rassure-moi, .....
Les moments de paniques où avant on venait se réfugier, se raconter, se confier, se rassurer près de l'autre....et le contraire le besoin de rassurer, de protéger....l'autre, le besoin qu'on avait de n'être qu'un à nous deux.....
Maintenant je suis une pour nous deux, je sais que tu es là pas loin, mais mon esprit n'est pas assez aiguisé que pour te ressentir....
Je voudrais être heureuse comme tu voulais toujours que je le sois...Mais voilà... Il y a des moments où la vie sans toi n'est pas heureuse où les moments de bonheur sont trop dur de ne pas les partager avec toi...
Tu vois j'arrive parfois à mettre des mots mais ce sont toujours les larmes et la douleur qui l'emportent.
Bisous volants mon loup. Ta louve.