J'y crois aussi.
A une énergie, une lumière, qui quitte un corps.
Ce n'était pas dans son regard, j'ai vu le sourire de la mort sur son visage.
La veille, alors qu'il était en attente de chimio, je suis passée par surprise le voir.
Et ce sourire à l'infirmiére, en lui disant "merci, oui ça va" m'a transpercé les yeux.
Une grimace funèbre qui m'a profondément marquée, et dont je ne veux plus me souvenir.
C'est pour cela qu'au moment de me coucher j'ai pris le portable prés de mon lit, comme un pressentiment dont je me suis rendu compte quand il à sonné dans la nuit.
Je voudrais tant oublier le pire, ne garder que le meilleur.
Mais c'est un tout, indissociable.
Je n'ai pas encore de "filtre" pour sublimer les images de cette dernière année.