La douleur des anniversaires,
la peine des jours de fête,
le chagrin des journées ordinaires.....
Mais rien,
ni la foule qui se presse pour des paquets cadeaux,
ni le silence des anniversaires sans baisers,
ni les fleuristes survoltés de la Saint Valentin...
Non.
Rien ne m'empêchera de lui murmurer,
ce jour-là, comme tous les autres,
que je l'aime.
Que je l'aime.
14 Février... comme la veille ou le lendemain, il sera là.
Je le porte en moi, bien au chaud et à l'abri de tout.
Tout mon être est sa demeure.
Et ma mémoire lui appartient.