Et tu sais, Jessy, j'ai mis sur un autre fil ce qu'un collègue m'a dit alors que mon mari était encore bien vivant, malade, très malade certes, mais encore présent.
Je revenais de congés, il me croise dans les couloirs du travail et me dit, je te présente mes condoléances, j'ai appris pour ton mari.
J'ai répondu, c'est peut-être un peu prématuré.
Ah bon, je croyais qu'il était mort.
J'ai eu le culot de répondre, la mort dans l'âme comme on dit : ça ne saurait tarder mais ce n'est pas encore le cas !
Fin de l'histoire !
Bises à toi.
Catherine