Les visites au cimetières sont très douloureuses dans un premier temps, même si nous avons effectivement besoin de nous y rendre; même quand, comme nous, nous avons la foi, voir même la conviction, que ce sont leurs âmes qui importent désormais, et plus leurs corps, on ne peux pas s'empêcher d'y penser de temps en temps
c'est plus fort que nous. Ce sont dans ces instants que la douleur de la perte, du manque s'intensifient encore. Quand ces pensées négatives s'estompent-ou qu'on arrive volontairement à les ècarter à nouveau, un minimum d'apaisement peu revenir. On a beau s'y attendre, ces phases, particulièrement aux premiers stades du deuil, sont très difficiles à vivre, et cette tristesse particulière peu durer un certain temps après coup. Tout ce qu'on peu faire dans ces moments-là, c'est attendre que le pire reflue, et accueillir avec reconnaissance le mieux-être, quand il revient.
Je te souhaite un week-end apaisé.