Merci pour tes paroles, Qiguan, qui me font toujours tellement de bien
crois-moi, je n'exagère pas quand je dis que ta gentillesse, ta compréhension et ton empathie m'apportent toujours un apaisement supplémentaires
Oui, nous vivons tous des émotions comparables, même s'il y a quelques petites divergences, le fond reste le même; et, comme je pense l'avoir déjà dit, il arrive aussi que toutes ces émotions n'aient pas lieu dans le même ordre pour tout le monde.
Si j'avais les mêmes raisons que toi de ne pas avoir d'animaux, je n'en aurais pas évidemment, même si ça me manquais, je ne voudrais pas être ègoïste. Mais il se trouve que moi, c'est le contraire: avoir un ou plusieurs animaux m'a toujours permis de me sentir un peu moins mal durant mes différents deuil, et devoir prendre soin de ces petits êtres a été un but dans ma vie, les rendre heureux, même quand moi je ne le suis pas...les avoir avec moi, les câliner, leur parler (comme après le décès de Jean-Philippe, quand je sentais qu'ils ressentaient eux-mêmes le deuil), m'a toujours mis ne serait-ce qu'un peu de baume au coeur
mon cochon d'Inde actuel s'appelle Bisounours, c'est un amour
Il a été difficile de parler de tout ce qui a entouré le deuil de ma meilleure amie, mais c'était nécessaire
il faut passer par bien des douleurs rétrospectives-revivre ces terribles évènements en les mettant noir sur blanc est une traversée des enfers , et plus encore quand il s'agit d'un grand amour, mais le deuil des amis est dur aussi-mais après, on se sens allègé d'un poids