Dans un autre régistre, cette chanson me fait beaucoup penser au deuil de Jean-Philippe, mon plus récent compagnon, tel que je l'ai vécu, et tel que je le vis encore parfois-et je me retrouve beaucoup dans le clip aussi:
ROULE, de Soprano:
Le jour se lève, la vie reprend
Faut remplir la gamelle,
Mais tout en souriant
Mes proches appellent, ils prennent des nouvelles
Mon sourire leur ment
Rien n'est plus comme avant
Je fais semblant, au milieu des gens
Je chante, je ris, mais quand vient la nuit
Ton absence et ton fou rire
Font trop de bruit, impossible de dormir
Donc je roule, roule, roule, roule,
Roule dans les rues de ma ville
Larmes à l'oeil, la boule au ventre,
Je refais le monde avec des "si"
Oui je roule, roule, roule, roule
Jusqu'au bout de la nuit
J'accèlère, majeur en l'air
En insultant la foutue maladie
On pense à toi, on pleure parfois
On s'demande pourquoi, mais ainsi vas la vie
Au moins cette fois, ta douleur n'est plus là
Tu repose en paix, on croit au Paradis
Tu nous voulais forts, tu nous voulais heureux
Don j'ai repris le sport, je fais de mon mieux
Mais la nuit, ton souvenir fait trop de bruit
Impossible de dormir
Donc je roule, roule, roule, roule
Roule jusqu'au bout de la nuit
Les larmes à l'oeil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des "si"
Oui je roule, roule, roule, roule, roule
Roule, jusqu'au bout de la nuit
J'accèlère, majeur en l'air
En insultant ta foutue maladie
Rien ne sera plus jamais comme avant
Il est temps d'aller de l'avant
Il est temps de dire au revoir
Mais sur le quai de l'insomnie
Tous les trains me mènent à toi
Donc comme tous les soirs
Oui je roule, roule, roule, roule
Dans les rues de ma ville
Larmes à l'oeil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des "si"
Oui je roule, roule, roule, roule, roule
Jusqu'au bout de la nuit
J'accèlère, majeur en l'air
En insultant ta foutue maladie
https://youtu.be/ne9Qa1x8_rE