Bonsoir Pucinette,
Tu dois être arrivée à présent.
Je t'envoie de douces pensées.
Ou que tu ailles, ton amour t'accompagne, car il est en toi, tu ne le laisses pas derrière toi.
La première fois que je suis parti, 2 mois apres son décès, j'ai fuis, et y suis allé à reculons, en lui disant au revoir, excuses moi de te laisser, de "t'abandonner" en refermant la porte.
Je comprends tes larmes, j'ai essuyé les mêmes, aujourd'hui elles restent toutes aussi brillantes, mais je me suis résigné à leur goût, et Elles se sont habituées à moi.
Ce soir, j'ai fais des bagages In extremis, j'ai l'opportunité d'aller à la neige 3 jours avec le petit, le toutou et un neveu, pour remplacer un désistement, et vu la fébrilité, la joie de notre petit homme, je souriais en réponse à chaque passage devant le portrait de Darling, pour partager cette effervescence avec lui. Cette vie.
Il n'est plus là pour le vivre physiquement, mais Il reste présent avec nous.
Cette joie reste celle de notre famille, et l'absent reste notre.
Je t'embrasse Pucinette.