Je choisis de répondre sur mon fil personnel ... ainsi, chacun sera libre de lire, ou pas, ce qui suit …
J'essaierai d'être aussi claire et concise que possible, c'est la manière "intello" qui conviendra le mieux à ce message, et qui aura le mérite de ne pas trop étaler des sentiments d'incompréhension et de tristesse aujourd'hui ...
Je m'appuierai sur cette maxime pour étayer mon propos :
Qui pourrait me dire maintenant ce que je dois croire, penser ou faire ? Personne !
que je pourrais faire mienne également, ce qui me permet d'avoir des opinions personnelles que je peux donc comme tout un chacun affirmer librement (ce dont je ne me prive généralement pas). Je n'exclus pas quant à moi de me tromper, croire mal, penser mal ou faire mal et aussi admettre que d'autres puissent penser différemment et être en droit de l'exprimer également.
Il n'y a pas « d'affaires » sur le forum, il y a juste des opinions différentes, que chacun exprime (ou pas) en son temps et à la manière qui lui est propre.
Je ne fais pas de mes prises de position querelles personnelles, je ne discute que sur les idées.
Je ne dis pas : «
Tu n'es pas une belle personne » mais «
Je ne suis pas d'accord avec ce que tu dis ».
Je ne remets pas en cause ni l'honnêteté ni le courage de ceux qui s'expriment.
Je n'oppose pas solidarité et critique, je ne crois pas qu'être en désaccord d'idées avec les gens vous oppose nécessairement à eux, façon : «
Tout ce qui n'est pas avec moi est contre moi. »
L'amitié et la solidarité sont au-delà de nos différences …
Porter la controverse implique parfois que la controverse s'exerce en retour et que ses propres opinions soient remises en question, ce n'est pas très agréable j'en conviens car j'en ai souvent fait l'amère expérience.
Mais c'est dans cet espace-là que la liberté tant appelée de nos vœux peut s'exprimer.
Ce sera ma dernière contribution publique sur ce sujet, j'invite ceux qui ne partageraient pas mes opinions à me contacter personnellement par message privé.
Déçue, je le suis également, blessée, et sûrement plus triste encore …
Faïk