Quand on ne possède pas grand-chose, on se trouve toujours bien d'avoir du bon sens, nos grands-mères en étaient parfois l'exemple et puisque flotte le drapeau de la scato, je citerai également la mienne, quand rougissante après le petit doigt de porto du dimanche, elle osait un :
« Les histoires de fesses, il ne faut pas y mettre le nez, cela ne sent pas bon ... » qui invitait tout un chacun à se mêler de ce qui le regarde … (faut pas exagérer quand même, son lâcher prise ne l'autorisait pas à aller plus loin dans le langage outrancier).
Autres temps, autres mœurs … tu serais bien étonnée aujourd'hui si tu savais de quoi je me mêle, tellement de choses m'interpellent … Tu me dirais probablement
"Chacun son métier et les vaches seront bien gardées" … Mais Gran'Ma, tu étais une fille de la ville et le tout-à-l’égout t'était connu depuis bien longtemps … je me demande même … mais non, tu n'aurais pas osé :
"L'art, c'est le plus court chemin de l'homme à l'homme"…
La journée d'hier a été triste, triste, triste. Le décompte de ce qu'on a, le décompte de ce qu'on a plus, au propre comme au figuré.
Malgré tous tes bons vœux Souci, je ne crois pas que la journée d'aujourd'hui soit à la fraise, mais je crois que ce sera groseille, légèrement sucrée et acidulée.
Mais j'adore la groseille !
On partage ? chocolat, fraise, groseille ...
Faïk