" l'infusion de moi-même dans ce qui était ma source de vie"
Faïk
« Au départ, l’autre ne fait que compenser les désirs et les manques qui marquent notre existence. Dans la deuxième étape, quand la passion s’arrête, nous aboutissons à une ouverture où chacun n’est plus la béquille de l’autre, où la rencontre donne un sentiment de plénitude, de justesse, de complétude, de sensualité, de dialogue, de compréhension, de signification de la vie… qui est en nous, et que l’autre nous donne de rencontrer en lui. »
Une phrase, trouvée au hasard de mes promenades sur le net.
Sans doute est ce ce lien si fort et si particulier qu'il nous est inconcevable de retrouver.
Jean et pataugas ont été , et sont encore l'essentiel de ma " garde robe " depuis plusieurs mois, et j'ai souri en lisant ton message hier soir car j'en étais encore affublée.
Confrontées, toutes deux à la violence d'avoir à gérer seules, moi deux déménagements successifs en1 an, et toi un déménagement " sur place " qui n'en finit pas, nous allons à l'essentiel.
Dans ces situations, le fait même de pouvoir être considérées comme des femmes peut paraître déplacé, ou incongru.
Et pourtant nous sommes infiniment féminines. Et solitaires aussi.
Bien à toi
Nora