Youpiiiiiiiiiiyé !
J'avais pas encore lu ma petite Faïk, j'ai cru devoir rester avec tout ce qu'on n'a pas pu avaler ce midi le Federico et moi !
Ouf !
Tu vas pas faire "jeû-ne-dedi" pour continuer la semaine maudite !
La salade est un peu racacuite dans le vinaigre, pas grave, on va la donner aux renards et en re-préparer, de la bonne feuille de chêne bien verte et tendre ... les frites, elles sont passées une première fois à la friture, facile suffira de les repasser ... les boulettes et la sauce, encore meilleures remijotées ...
C'est usant, le cafoutch ... et j'imagine encore bien plus en cette saison où l'on aspire à de douillettes soirées ... le mien n'est pas comparable, mais puisque mon mari a vraiment envie que la maison soit "nickel", et qu'on vit dans 88 m carrés garage compris, tu vois le bazar de faire les murs sols plafonds ... comme il faut ... rien n'est en trop, les armoires sont bien remplies du nécessaire, faut tout bouger mur par mur, coin par coin, découvrir des "misères" de plafonnage, patience, patience et surtout pas abandonner ... je déteste faire ces travaux alors qu'on vit dedans, c'est à chaque fois double travail, de nettoyer, de ranger, de se souvenir où on a mis ça, mais ça va, je prends mon mal en patience.
Des "havre de paix" je suis habituée depuis belle lurette à en trouver de petits un peu partout.
Un coin de table, un fond de jardin en friche, un sentier dans les bois, un lit propre au milieu d'une baraque où qqs heures avant on coupait une ouverture à la disqueuse ...
Mais à présent, mes exigences réduites au minimum exigent toutefois que mon espace de deuil puisse étaler son amplitude nécessaire ... alors je négocie mon territoire en n'acceptant pas tout et en n'envoyant pas non plus chier tout le "matériel" ... plus rien n'est vraiment grave, de toute manière, le PIRE est arrivé ... sans prévenir !
De belles pensées pour toi aussi, amie dans l'ordi, M.