Entendu cela aussi, dans "Le silence des mots" de Gaël Faye. Loin de moi la pensée d'établir un parallèle avec l'horreur rwandaise. Juste la certitude qu'il manque, à nous autres humains, la faculté d'exprimer, véritablement.
"Je me rends compte que les mots ne nous permettent pas de dire véritablement. On tourne toujours autour de la plaie. On n'arrive pas à véritablement trouver les mots."