FORUM "LES MOTS DU DEUIL"
Comprendre et vivre son deuil => Vivre le deuil de son conjoint => Discussion démarrée par: Marie51 le 27 novembre 2016 à 19:07:26
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Je suis nouvelle
Malheureusement je viens de perdre mon amour le 23 octobre d un cancer foudroyant
On était fusionnelles jamais l un sans autre comment faire mon cœur me fait mal je sais pas comment je vais réussi r à vivre sans lui plus entendre sa voix oh mon dieu trop dur aidé moi si vous plaît !!! Merci
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Bonsoir Marie 51
Je comprends ton désespoir j ai perdu l amour de ma vie le 17 octobre d un cancer aussi comme toi nous étions fusionnels 16 ans de bonheur.
J'ai ressenti de la peur, de la colère, de l'incrédulité et ensuite désespoir. Aujourd'hui je prend un anti de presseur pour arriver a aller travailler et j essaye de ne. Pas me couper du monde. Mais la douleur et le manque ne te quittent pas. Cette fichue maladie est une injustice !
Saches Marie que tu n es pas seule et que sur ce forum tu trouveras de la compréhension. En tout cas moi cela me fait du bien.
Alors n hesites pas parlés nous de lui de ton amour.
Je t embrasse Marie 51
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bonsoir Marie,
nous sommes là...je suis arrivée aussi cette semaine, suite à la perte de mon amour le 16/10 dernier.
J'ai lu les derniers messages déposés. Et cela m'a fait du bien...je suis toujours profondément triste, je lutte tous les jours, mais ce forum est d'un bon secours...
Parles-nous de ce que tu veux. Tu seras lue et on te répondra.
Je t'envoie tout plein de courage...
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Bonsoir Marie,
Ici depuis plus longtemps.
Comme toi, je suis passé par cette phase noire où l'on n'a plus envie de rien.
Heureusement, il y avait mes/nos enfants qui m'ont tenu "en vie".
Et puis le chemin se fait mais chacun à son rythme.
Si j'avais un seul conseil à te donner: apprends à te ménager et à être bienveillante envers toi-même.
Zut, cela fait deux conseils!!!
Et un dernier, en forme d'au revoir: prends soin de toi!!!
Pierre
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Bonjour Marie
Comme toi j'ai perdu l'homme de ma vie d'un cancer en deux mois... Il est parti le 29 octobre... Ça fera un mois demain...
Je ne peux pas te donner de conseil car je suis anéantie. .. Même mes enfants ne me tiennent pas...
Bon courage...
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bonsoir
je ne s
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bonsoir
je ne sait pas comment je n'est aucun conseils se soir j'ai envie de prendre toute cette boite de cachet
qui me ferai dormir rejoindre mon amour , de toujour comment la vie nous a séparer comment faire sans lui
il me manque je n'y arriverai c'est dur non non c'est impossible comment c'est possible de vivre cette douleur
se manque si vous plait comment je doit faire
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Ma chère Marie, oui c' est très très très dur de perdre son compagnon, quel conseil te donner? Je peux te donner mon exemple: j' ai dit au médecin: si je dois vivre alors fais (oui nous sommes amis d' enfance alors on se tutoie) en sorte de me droguer, je veux voir des éléphants roses planer, je ne veux pas me rendre compte de la réalité sinon ce n' est pas la peine de vivre. Alors pour ne pas infliger une peine supplémentaire aux miens depuis 9 mois je me drogue, au début les doses étaient suffisamment fortes pour que je dorme 12 heures d' affilée, je me couchais à 8 h le soir et me levais le lendemain même heure, du coup, j' en étais presque heureuse, j' avais franchi la moitié de la journée sans l' avoir vue passer, à cette allure là me disais-je le temps passera plus vite au moins. Je ne dors plus autant, je me drogue presque toujours autant, j' arrive à lutter, je vais chez le psy apprendre à baliser le chemin du deuil, élégamment appelé "travail de deuil", tu parles d' un travail, la bagne oui! On prend perpète quand on perd son conjoint. Je te conseille par contre de visionner les vidéos du dr Christophe Fauré spécialiste du deuil, au moins tu avanceras moins mal et tu comprendras pourquoi tu es en état de sidération actuellement.
https://www.bing.com/videos/search?q=docteur+christophe+faur%c3%a9+psychiatre+deuil+vid%c3%a9os&qpvt=docteur+christophe+faur%c3%a9+psychiatre+deuil+vid%c3%a9os&FORM=VDRE
Tiens bon, accroche-toi comme tu peux, on y arrive puisque j' y arrive, et même qu' on en arrive à s' admirer soi-même de résister, bisous, bon courage.
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Bonsoir Marie,
Ah cette fichue tentation de baisser les bras qui nous rattrape parfois lorsque la fatigue nous submerge. Mêlée au chagrin, elle se fait lourde et peut même nous planter dans le crâne des idées bizarres.
Tes interrogations, cette certitude de ne pas parvenir à surmonter ce qui nous assaille... oui, tout cela, nous l'avons traversé, nous qui sommes là à te lire.
Pour certains d'entre nous, c'était il y a peu ; pour d'autres, c'était il y a plusieurs mois, ou plusieurs années.
Alors, sans prétendre donner de conseils, non, je puis simplement te dire, comme je l'ai déjà tant écrit ici, que sans l'avoir cru possible, sans même l'avoir voulu trop fort, nous nous retrouvons debout, à avancer sur ce chemin qui nous mène vers un monde nouveau.
Que cette nuit vous soit douce, et sans larmes.
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Je suis comme toi Marie ce soir.... Je n'ai plus de force.... Je reviens de chez le médecin et j'ai des boîtes entières...
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oui je suis fatgué a pensè qu'il va revenir que c'est pas possible je peu pas avancé tout me manque ses mots ses chansons nos discution, ses mot pour me remonté le moral, me calmé
ces l' amour de ma vie c"etait ma raison de vivre c'etait nous comment faire sans lui
je ne sait pas je me bat chaque heure ma vie na plus de but non c"etait nous pas que moi
la vie na plus de sense
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Bonsoir petites sœurs de chagrin,
Marie, un mois, c'est un moment difficile ; une étape de cet après qui nous trouve exsangues, épuisées, perdues.
Ce temps où il nous faut tout réapprendre; tout affronter, seules. Et le plus cruel, bien sur, apprendre à vivre sans notre main dans la leur.
Mais pas vraiment sans eux, car nous les portons bien au chaud, cachés au fond de nous.
Un mois ... nous sommes encore engluées dans l'impensable ; perdues dans un monde nouveau dont ne voulons pas.
Perdues sur une planète inconnue qui tourne sans eux.
Persuadées que nous ne saurons pas.
Faire les courses,
gérer la paperasse,
allumer le feu de bois,
changer ce fichu interrupteur qui démissionne,
faire rentrer du bois,
réparer les volets,
affronter le dimanche main,
remettre la chaudière en route...
La liste pourrait s'allonger.... Nnous sommes tellement persuadées de ne plus rien savoir faire sans notre amour.
Le chemin n'est pas facile, mais le temps nous éloigne de l'impensable et de l'épouvantable douleur.
Comme tu l'écris, Marie, chaque heure est un combat, une lutte. Et après un mois, nous sommes encore fragiles.
Jour après jour, nous parvenons à surmonter tant d'obstacles...
Comment ne pas être fatiguées ?
Il faut prendre soin de vous ; prendre soin de vous....
Je vous souhaite une nuit sereine et sans larmes.
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Salut Ephémère,
Ceci m'a fait sourire vers toi ...
Ouvrant le forum ce matin comme d'autres ouvrent leur journal, encore que ce geste fasse très "20ème siècle",
j'ai cliqué sur ton pseudo en voulant ouvrir ce sujet où tu es la dernière à t'être exprimée (enfin l'avant-dernière, puisque je ... ouille, Souci tu commences une "belle" journée toi ...)
enfin BREF, j'ai souri en lisant ta localisation: éphémère ...
Pas mal, allez, salut encore plein de gaffes à venir aujourd'hui.
Bye, M.
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encore un jour encore une nuit sans lui mais je vais pas y arrive il me manque je suis fatigué d'avoir mal
je suis epuisé d' attendre je me met a pleurer sans pouvoir me controlé
nous allons fetè nos 35 ans de mariage le 19 dècembre
mais comment faire comment vivre sans l'amour de ma vie
qui peu m'aidè a avancé comment
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Ma chère Marie tu en es à l' étape dite de sidération, le choc, le séisme, l' anesthésie de ta vie, la violence du deuil, et ce n' est que le début, oui, faut apprendre à vivre avec le deuil comme on apprend tout le reste dans la vie, tu n' étais pas préparée, personne n' est préparé à affronter le deuil de son conjoint, on sait bien pourtant qu' on va mourir, qu' il va mourir, qu' un de nous deux va survivre à l' autre, seulement voilà, personne ne nous y prépare, alors tu dois apprendre à faire ton travail de deuil comme nous tous ici. Franchir les étapes car c' est pour les autres que l' on vit pas pour soi. Tu as eu l' immense chance de vivre 35 ans avec la personne de ton choix, ici c' est rarissime de voir ces mots, en général les situations sont bien plus catastrophiques, il faut te raisonner, la vie doit s' arrêter un jour, tu dois être forte, je sais c' est facile à dire, mais pour exemple, ça fait 10 mois que je tiens bon, j' ai pourtant connu la même histoire et le cancer fulgurant de mon mari. Je mène une vie presque normale, même si je souffre beaucoup intérieurement, je m' efforce de ne pas le montrer, je fais semblant, je sors, je prépare les fêtes de fin d' année sans joie, en automate, je vais partir une semaine en Normandie moi qui suis du sud, je vais me dépayser, cela me fera encore plus mal de quitter la maison où nous avons vécu tant d' années, tant de souvenirs, eh oui, tiens bon, j' y arrive, tu y arriveras, mal, mais on y arrive, on n' a pas le droit de se plaindre, ainsi va la vie, vaut mieux l' accepter, ça passe mieux et plus vite. Tiens bon, bisous.
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Je suis en Normandie.... Près de Caen. ... Si tu veux discuter avec une soeur de malheur je serai là à partir du 26/12....
Bon courage....
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Bonsoir Marie,
Chacun d'entre nous voudrait trouver les mots qui consolent.
Et bien sur ce soir je voudrais en être capable.
Pour effacer ta peine.
Et me voilà, debout.
A t'écrire que j'ai franchi cette abomination.
Sans savoir ni comment ni pourquoi.
Comme une coquille de noix emportée par le courant et ballotée dans les remous.
Engloutie parfois.
Et puis, hop, petit bouchon projeté à la surface par une lame de fond.
Et la coquille de noix reprend sa route.
Voilà, Marie.
Rien que le témoignage sans prétention d'une p'tite coquille de noix qui a résisté.
Presque malgré elle.
Pour te dire que tu y arriveras toi aussi.
Je te souhaite une nuit douce et sans larme.
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Bonjour Marie,
je vois ce matin tes messages qui demandent de l'aide et qui me ramènent quelques mois en arrière... Je vois aussi des réponses qui parlent de s'assommer de médicaments et je ne pense pas que ce soit la bonne solution. Quand mon compagnon est tombé malade, je suis allée voir mon médecin traitant pour qu'il me donne ce qu'il faut pour tenir le choc et pour dormir. J'ai continué à prendre ce qu'il m'avait prescrit parce que j'étais incapable de dormir après la perte de mon compagnon. Au bout d'un mois, impossible de dormir sans somnifères et je passais mon temps à regarder mes boites d’anxiolytiques et de somnifères en me disant que la vie était trop insupportable, qu'il suffirait d'engloutir tous ces comprimés pour que ça s'arrête...
Je ne l'ai pas fait. D'abord parce que c'est la meilleure façon de se rater, de finir avec un foie en gruyère, en légume, encore plus bloquée dans une vie sans intérêt. Et ensuite parce que j'ai eu la chance d'avoir une psy pour m'épauler. Pas un psychiatre à 75€ de l'heure qui me demanderait pourquoi j'ai mal. Mais une psy qui m'a donné des conseils, qui m'a aussi prescrit de la méditation en plus des médicaments (ça peut paraitre bête, mais c'est le seul truc qui m'a permis de pleurer, ce que je n'arrivais pas à faire au départ) et qui a été là juste pour s'assurer que je traversais la tempête sans sombrer dans un deuil pathologique.
Alors je fais pour toi ce qu'une de mes amies a fait pour moi en m'envoyant voir sa psy. Il y a plein de méthodes, avec des hypnothérapeutes, des comportementalistes ou autres qui peuvent t'accompagner pour faire face au traumatisme que tu traverses. Au moins juste pour vérifier que tu ne sombres pas. Si tu as le courage de sortir de chez toi, tu peux demander dans une pharmacie ou à ton médecin s'ils connaissent quelqu'un qui pourrait t'aider. Tu peux demander à tes proches, à tes amis, peut-être vont-ils voir quelqu'un qui les aide ou pourrait t'aider. Ou tu peux regarder cet annuaire (http://www.psychologies.com/quelpsy/home), et si c'est trop dur pour toi d'y fouiller, appuie-toi sur un proche qui pourra regarder à ta place.
A bientôt
Alexandra
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bonjour
je vous remerci de votre soutient
oui j ai mal comme vous aussi j ai peur de demain
j'ai peur tout seule mes enfants on leurs vies
je n'est plus de but dans cette vie dans se monde sans mon amour
j'ai eu une très malheureuse jeunesse il es arrive j'avais que 18 ans
ma surprotégè on a 11 ans ecart mais sa etait mon soleil mon sauveur
je veux plus repassé se que j'ai eu a mes 11 perdre ces deux parents
et se retrouvé seul je veux pas repassé cette douleur plus la force
merci a vous
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Bonjours Marie. J'espère de tout mon cœur que ça te fais ne serait-ce qu'un peu de bien de t'ouvrir ainsi à nous. Se vider de ses émotions, y compris les plus noires, tout mettre noir sur blanc (c'est le cas de le dire), comme ça nous viens, spontanément, peux soulager, malgrès cette insoutenable douleur que nous connaissons tous. Ici personne ne minimisera ta souffrance ni n'essayera de te "consoler" par des phrases toutes faites, souvent maladroites. Nous savons tous ce qu'il en est exactement lors d'un deuil, particulièrement à ses débuts. Nous nous comprenons tous car chaque deuil, malgrès ses autres différences, a une base commune avec tous les autres, tous se rejoignent.
Affronter le quotidien jour après jour, effectuer tous ces gestes anodins en apparence, mais que nous avions l'habitude de faire avec l'autre, l'être aimé, est sans aucun doute le plus difficile les premiers mois. Nous devons apprendre à vivre sans eux, sans leur présence quotidienne justement, à faire les gestes de la vie, mécaniquement au début, et pourtant ça demande un grand effort. Nous devons pourtant le faire, un jour après l'autre, parce-que nous n'avons pas le choix. En ce début de deuil, nous sommes comme morts à l'intèrieur, mais nous faisons, malgrès tout, les gestes de la vie.
Il faut plus de temps pour que ces gestes deviennent, petit à petit, plus naturels, que nous apprivoisions un minimum, puis davantage cette vie sans eux, cette absence. Le manque est toujours là mais nous le supportons davantage.
J'ai moi-même perdu mon compagnon le 2 mai 2015, et il est toujours aussi présent dans mon cœur, mais j'ai appris petit à petit à vivre sa présence physique à mes côtés, à èvoquer nos merveilleux souvenirs avec plus de douceur que de douleur. Je ne vais pas te mentir, il y a toujours des moments plus douloureux, mais ils sont beaucoup plus espacés. Le chemin est long et difficile, et on n'en voit pas le bout, surtout dans la phase où tu es, ça demande beaucoup de patience et de ténacité, mais un mieux-être est possible à plus ou moins long terme.
Tu as vécu une vie complète avec ton conjoint, le fait qu'il soit parti avant toi doit être d'autant plus douloureux, et d'autant plus que vous étiez très fusionnels, c'est comme si on t'avais arraché une partie de toi. Cela dit, en même temps c'est un privilège pour toi, pour lui que vous ayez vécu, si longtemps, un tel amour, c'est loin d'être le cas de tout le monde. Tu lui as fait le plus beau des cadeaux: vivre toute une vie une belle istoire d'amour. Et tu as été auprès de lui jusqu'au bout. Je sais que ça demandera du temps pour que tu arrives à voire les choses sous cet angle, mais un jour c'est possible.
:-* :-* :-*
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bonjour stana
merci merci beaucoup sa fait du bien , tes parole mon fait comprendre que un jour sa ira mieux
j'ai encore un très long chemin de douleurs et angoisse de manque
oui j'ai etait là jusqu'au bout il es parti dans mes bras mon amour
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oui Stana ça demande du temps pour non pas voir intellectuellement les choses sous cet angle
mais de plus les voir émotionnellement
voir là est un verbe insuffisant il faut arriver àa ller un peu plus loin pour être dans de la sérénité
voir complètement ainsi
c'est un long travail
qui se fait au quotidien
ce matin par exemple à 31 mois je me disais en marchant avec le chien quand l'esprit vagabonde aussi, que si j'avais su l'issue de notre belle relation, ses hauts et bas ses difficultés oui j'aurai dit oui malgré tout car je voyais dans la balance la force des plus d'un amour de ce type vécu sur tant d'années oui un privilège, un cadeau de la vie, oui j'en ai conscience
mais les émotions paradoxalement n’intègrent pas encore la perte du cadeau ...
soyons patient(e)s
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Bonsoir Marie,
Comme toi je suis nouvelle puisque j'ai perdu mon Mari le 26 novembre.
J'ai commencé à écrire il y a deux jours : titre "INCONSOLABLE".
Je ne sais pas ce que peux m'apporter ce forum car je suis comme toi anéantie, inconsolable et avec une envie qui ne me quitte pas d'aller rejoindre mon Mari, mais je sais en lisant tous ces messages de détresse que la perte de son Amour c'est ça. Mon Mari s'est battu contre le cancer pendant 9mois. Je l'ai accompagné et lui ai donné toutes mes forces. Aujourd'hui je ne suis plus rien sans lui.
J'espère de tout coeur que tu trouveras le courage qu'il me manque et que tu me donneras de tes nouvelles.
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Bonsoir Katy,
Nous connaissons bien cette impression de n'être plus rien sans notre amour.
Impression étrange d'avoir à tout réapprendre.
Le quotidien,
Marcher, seule.
Sans notre main dans la sienne.
Réapprendre tout ce que nous savions faire avant lui.
Et puis, reviennent peu à peu toutes nos capacités.
Enrichies de tout ce que nous avons appris aux côté de notre adoré.
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bonjour
aujourd hui on a 35 ans de mariage j'attend mon bouquet de rose
mais cette année c'est moi qui te ramene se bouquet mon cheri
je ne supporte plus ton absence sa devient trop dur la seule chose que je veut
c'est
te rejoindre je ne peu plus de cette vie de ses heure sans sa voix
j'ai trop mal j'ai la naussé quand je pense a lui
je suis deja morte a interieur
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Toute cette douleur, Marie....
Ces dates qui nous mettent à genoux.
L'absence qui déchire le cœur.
Mais toutes ces années d'amour que rien n'effacera.
Ce bonheur d'hier qui nous fait tenir debout aujourd'hui.
Malgré tout.
Demain, tu auras dépassé cette date-épreuve.
Que viennent vite les souvenirs sans nausée.
Et que la nuit t'offre la sérénité et le repos dont tu as tellement besoin.
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bonjour
merci beaucoup pour m'avoir lu et répondu