Bonsoir,
Quenouille , je comprends ce que tu écris , difficulté de faire les valises d'avoir l'envie de partir et en même temps cette impossibilité de rester, nous l'emmenons partout, notre disparu, notre chagrin
et, je comprends ton désir de partir loin ,Ephémère, pour trouver un peu de répit dans la tempête
aujourd'hui journée chagrin
le temps de ce voyage d'une semaine aux Canaries à randonner , j'étais un peu comme à coté
Et , aujourd'hui , le chagrin est là , je ne peux m'empêcher d'imaginer cette semaine avec lui ,c'est d'autant plus facile que l'an dernier même époque nous étions à Madère, si heureux et complices, si débordants d' énergie , de joie d'enthousiasme , de rire, de vie
Cette semaine m'a semblée terne, si plate, sans relief, avec une belle rencontre heureusement, j'ai essayé d'être le plus possible dans le présent
Et,aujourd'hui, le chagrin est là, profond,sans nom et je ne contrôle plus . Et , je réalise le vide immense que son geste a provoqué
dans ma vie dans celles de ses enfants et le gachis car il y avait encore tant à recevoir et à donner et à partager, à vivre tout simplement
amicales pensées à tous et toutes
Orchis