Le dualisme de la vie se retrouve intrinsequement dans le parcours du deuil.Quel qu'il soit,le chemin semble etre dirige par le bien ou le mal.Le noir ou le blanc...Comment savoir ou se trouve la vraie frontiere?Si nous avancons sur un damier,il est impossible d'etre un peu dans la nuance,les cases sont trop delimitees,trop de bonheur peur etre mal percu,jalouse ou synonyme de pretention.Trop de douleur amenera la vindict des" bienheureux",et fera de nous des "parias",des lepreux qui font pitie et peur....
La vraie lumiere,sur ce damier trop delimite,serai de marcher dans le joint,entre noir et blanc,dans les tons gris,qui par leurs palettes de nuances font que l'ont peut aller de l'ombre a la lumiere,et vis- versa,sans jamais perdre les deux teintes de reference,qui sont trop abstraites pour etre une ligne dogmatique de conduite de vie,de sentiment ou de foi absolue...
Savoir composer,adapter sans tromperie affichee,sans esprit de conquete,et sans malice,ca,c'est une preuve d'intelligence,la seule qui soit vraie,celle de l'emotionnel,l'intelligence de la vie,de la fragilite de cette vie,qui nous le savons a present est tellement tenue,tellement fugitive,et si irreversible,que peu de choses sont importantes au final,peu de choses comptent vraiment lors du grand depart,si ce n'est l'essentiel,le plus imperceptible et inexpliquable de nos sensations,mais la plus forte,la plus invincible :
l'Amour de la vie d'une personne....
Bruno a Sandrine.