Je comprends très bien votre souffrance et be ne peux que compatir,  etant moi même dans cette situation, j"ai perdu mon père il y 364jours maintenant,  et la douleur est toujours aussi vive, aussi brûlante.  J"ai 17ans et vous avez raison de dire que rien n'zs'zest comparable a la perte d'un .parent.
Courage, je suis de tout coeur avec vous.
Parlez de votre douleur, moi durant six mois j'aj'ai vécu comme s' il n'etait qi'en voyage, et le jour ou je me suis réveillée de ma torpeur,  la douleur a été pire que tout, brûler vif n'en'est rien comparé a celacel.a.a.
Prenez le temps de vivre votre douleur.
Courage

Non je n'ai pas grand monde a qui parler, je suis jeune et donc tous mes amis aussi, et pour nous ce genre de choses est plutôt compliqué donc je n'en parle pas

Bonsoir  Mélancolie
C est vrai que c est très difficile de perdre sa mère.  J ai 46 ans mais n étant pas mariée ni enfant ma mère était comme la tienne tout pour moi. On passait tout nos loisirs et vacances ensemble.  Sans compter quand elle venait chez moi pendant que je travaillais. Elle laisse un très grand vide.  Et toi es tu entourée?
A bientôt

Bonsoir,
Courage c est difficile de continuer à vivre alors qu elles ne sont plus la....mes enfants sont jeunes et m occupent bcp en plus du travail...mais des que je me retrouve seule j y pense...j ai pas eu le courage de bouger ses affaires dans sa chambre à la maison ni chez elle - j ai toujours l impression qu elle va revenir ...que je vais me réveiller d un long cauchemar...mais elle aurait voulu que je vive, la tienne aussi j en suis sûre ...dans le souvenir de ce qu elles nous ont transmis

Merci pour votre soutien à tous et toutes
Ma mère m avait dit pendant sa courte maladie que le plus dur serait pour moi et je lui avais répondu que je m en remettrai pour la rassurer mais je ne le pensais pas du tout.  En fait je n arrivais pas à m imaginer le fait qu elle ne serait plus. Ma maman s en doutait un peu tout en espérant guérir. Je pense que le plus malheureux c est  pour elle car elle est partie  Mais maintenant qu elle n est plus la je suis certaine que je ne m en remettrais jamais.  On avait vraiment une relation très très fusionnelles toutes les 2. Certains nous comparaient à 2 copines.  La vie est vraiment très triste sans elle. On avait tellement de choses encore a faire ensemble. Je sais que pour vous tous cela est la même chose et vous comprend très bien.
Merci à vous.
Bien à vous

c'étaient des larmes d'amour...

La douleur que nous ressentons est profonde et aiguë à l'extrême. Certaines personnes soit ne sont jamais passées par un deuil soit parviennent à passer outre très rapidement.
Nous ne sommes pas de cette trempe, nous avons développé des sentiments extrêmement forts et humains au possible, nous ne sommes pas des animaux qui reniflent le cadavre d'un congénère pour s'en éloigner au bout de deux minutes.
Et encore, on connaît des animaux qui pleurent la mort soit d'un des leurs soit d'un humain pendant des années et des années.
Au surplus, on a la malchance de vivre en France, ce pays dingue (et je reste poli) où parler de la mort est totalement déplacé en dehors ... du jour de la Toussaint : un jour sur 365, tu parles d'un truc !
Je sais ce que c'est que cette douleur intense aiguë de perdre sa maman, je suis passé par là en 2011, et dans quelques jours je vais vivre le 4è très triste anniversaire de cette perte.
Serrons-nous les coudes, entre gens humains, qui ont encore une pensée pour des proches  disparus trop tôt.
Nous appartiendrons bientôt, dans ce drôle de pays, à une espèce bizarre en voie de disparition, une espèce étrange qui ose ENCORE prononcer les mots : mort, décès, perte, perte d'un proche, regrets, compassion, sentiments.