Tant de chagrins, multiples et pourtant si différents : celui d'une fille, d'une compagne, d'une mère...
Je le pleure, lui, mon père, qui m'a montré le chemin pendant de si longues années...
Je le pleure, lui, le compagnon de mon adolescence, de ma jeunesse, le compagnon de ma vie, celui qui a montré le chemin à la chair de notre chair...
Je pleure le chagrin de mes enfants sans père...
J'ai tant perdu ces derniers mois...
Je t'ai lue et j'ai eu de la peine, mais j'ai vu ton sourire à travers les larmes,
Porte-toi bien