FORUM "LES MOTS DU DEUIL"
Comprendre et vivre son deuil => Vivre la perte d'un parent => Discussion démarrée par: HeloiseVrn le 12 mars 2024 à 10:32:15
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Bonjour à tous,
Je me présente : Je m'appelle Héloïse, je suis étudiante à l'Université de Paris Cité en Master 2 pour devenir psychologue.
Dans ce contexte, je réalise un mémoire de recherche sur la fin de vie et le deuil des conjoints et des enfants (adultes ayant perdu un parent), mon objectif étant d'étudier votre vécu.
Par le biais de cette publication, je souhaiterais vous solliciter pour répondre à mon questionnaire en ligne adressé aux proches endeuillés. Ce questionnaire est totalement anonyme et il faut compter environ 20/30 minutes pour y répondre.
Lien vers mon questionnaire : https://sondage.app.u-paris.fr/228617?lang=fr
Je remercie d'avance ceux qui prendront un moment pour contribuer à mon étude
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J'ai répondu à votre sondage et j'ai quelques idées sur l'influence que cela pourrait avoir. La recherche sur la fin de vie, en particulier sur la perte du conjoint et des enfants, constitue un sujet d'étude important en psychologie, en sociologie et en médecine.
- Effets psychologiques : perte d'un conjoint peut provoquer une tristesse, une solitude et une mélancolie intenses. Selon des recherches, les personnes veuves sont plus susceptibles de ressentir une angoisse psychologique que leurs homologues mariées.
- Résultats sur la santé : Les veuves et les veufs peuvent être plus sensibles à certains problèmes de santé, tels que les maladies cardiovasculaires et les déficiences du système immunitaire. Le stress lié au deuil peut avoir un impact sur votre santé et vous rendre plus vulnérable aux maladies.
- Le soutien social est essentiel pour faire face à la perte d’un conjoint. Ceux qui disposent de réseaux sociaux solides ont tendance à s’en sortir plus émotionnellement et peuvent avoir moins d’effets néfastes sur leur santé.
- Méthodes d'adaptation : pour gérer la perte, les gens utilisent diverses méthodes d'adaptation, telles que rechercher le soutien de la famille et des amis, s'engager dans des activités réconfortantes et participer à des groupes de soutien ou à une thérapie pour les personnes en de.