Lucile, non tu ne portes pas la poisse.
Et si tu crois en Dieu, alors tu ne peux imaginer qu'Il voudrait te punir en t'infligeant toutes ces douleurs.
Seulement il y a la vie, et ses vicissitudes, ses petits et grands malheurs.
Nous avons tous, autour de nous, des amis ou des parents malades, ou dans le deuil.
Je t'en prie, Lucile, il faut que tu consultes, sans attendre, car le fardeau se fait vraiment trop lourd sur tes épaules, et il te faut trouver de l'aide.
Ta vie professionnelle ajoute à ta souffrance, et face à celà, il y a des solutions ; mais il faut que tu acceptes de prendre vraiment soin de toi.
Ne te punis pas pour des fautes que tu n'as pas commises.
Sois douce avec toi-même, je t'en conjure.
Je t'embrasse, chère Lucile, et t'offre en partage cette force qui me tient debout ; malgré tout.