Bonsoir à toutes et à tous,
C'est dur ce soir, malgé les mois qui passe, le manque se fait sentir, la tristesse est moins vive mais il arrive certain soir de ressacer des souvenirs divers et ça ne fait qu'accentuer le sentimennt de manque sur l'instant T.
Plus le temps passe et plus je me dis qu'une personne comme Christophe Fauré à raison, il en faut des années pour s'en sortir et intégrer correctement la perte d'un proche.
Je vois pourtant que cela va mieux par rapport au premier mois ou le deuil fut intense, mais il réside le manque. Le manque ne se dissipe pas. C'est pénible, difficile, de se sentir que l'on n'aura plus l'opportunité de discuter avec la personne disparue.
On riait beaucoup avec ma mère et ça me manque de n'avoir avec personne cette complicité que j'avais avec elle. C'est si frustrant de devoirs s'habituer à vivre sans l'être cher. Il m'arrive de me dire que je progresse, et paradoxalement aussi, de me dire que je ne progresse pas. C'est un pas en avant et un pas en arrière et ainsi de suite. Une sorte de danse macabre.
J'ai pris du recul sur le décès de ma mère, mais ça n'enlève en rien le manque, celui-ci, je dirais même qu'il grandit au fur et à mesure que le temps passe.
J'espère ne pas vous avoir mis le cafard, ce n'était pas mon intention, je n'exprimais là que ce que je ressens depuis quelque temps. Et je ne suis même pas certain qu'il y est un lien avec la période noël et le nouvel an, je n'ai jamais été un grand festoyer de noël et ainsi que du nouvel an.
Bon week-end à toutes et à tous,